’Le PAD a le plaisir de porter à l’attention des sociétés privées sénégalaises évoluant dans le secteur portuaire, qu’il est mis à la mis à leur disposition des actions dans le capital des sociétés d’exploitation suivantes : Terminal RoRo (25%), Terminal vraquier (20%) et Dubaï Port World Sénégal (15%)’’, rapporte la même source.
Depuis quelques semaines, le contrôle de l’activité portuaire à Dakar est l’objet d’une polémique opposant le Directeur général du Port au Conseil national du patronat du Sénégal (CNP). En conséquence, l’organisation patronale a suspendu de ses instances le PAD, qui en est membre.
Le secteur privé sénégalais a accusé la direction de cette entreprise publique d’avoir fait la part belle aux capitaux étrangers dans la redistribution de cartes de l’exploitation portuaire, soulignant notamment le retour du groupe français Bolloré pour la gestion du terminal à container de Dakar au détriment de nationaux.
Ce privé étranger avait subi un revers en 2007 lorsque l’ancien régime portait ses faveurs sur le groupe émirati Dubaï Port World, dont la filiale sénégalaise paye dans son secteur les frais du changement politique du 25 mars 2012 avec l'élection du président Macky Sall.
D'ailleurs, au Sénégal, la gestion de portefeuille intéresse la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui poursuit Karim Wade, fils et ancien ministre d’Etat d’Abdoulaye Wade, qui était le chef de l'Etat de 2000 à 2012.
Depuis quelques semaines, le contrôle de l’activité portuaire à Dakar est l’objet d’une polémique opposant le Directeur général du Port au Conseil national du patronat du Sénégal (CNP). En conséquence, l’organisation patronale a suspendu de ses instances le PAD, qui en est membre.
Le secteur privé sénégalais a accusé la direction de cette entreprise publique d’avoir fait la part belle aux capitaux étrangers dans la redistribution de cartes de l’exploitation portuaire, soulignant notamment le retour du groupe français Bolloré pour la gestion du terminal à container de Dakar au détriment de nationaux.
Ce privé étranger avait subi un revers en 2007 lorsque l’ancien régime portait ses faveurs sur le groupe émirati Dubaï Port World, dont la filiale sénégalaise paye dans son secteur les frais du changement politique du 25 mars 2012 avec l'élection du président Macky Sall.
D'ailleurs, au Sénégal, la gestion de portefeuille intéresse la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui poursuit Karim Wade, fils et ancien ministre d’Etat d’Abdoulaye Wade, qui était le chef de l'Etat de 2000 à 2012.
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