Cette assurance, Souleymane Ndéné Ndiaye, l’a donné ce mercredi en marge de la cérémonie officielle de lancement du forum école-entreprise du Groupe SupdeCo.
« Ceux qui pensent que le gouvernement a déposé un projet de loi pour modifier les dispositions du Code du travail sur le contrat à durée déterminée (CDD) se trompent. Ce projet de loi n’existe pas, il n’y a pas de projet de loi déposé ou préparé en vue de modifier le code du travail », a dit le Premier Ministre.
Sur ces instructions , le ministre du travail entame des négociations avec les différents partenaires et cela à la suite de ce constat : « comme vous le savez, les jeunes qui sortent des écoles ainsi que toutes les personnes qui sont sur le marché de l’emploi, qu’ils aient ou non des diplômes, prétendent occuper un poste, ont le droit de trouver un travail, le droit au travail est consacré par la constitution et donc, nous Etat, nous avons le devoir et l’obligation de trouver du travail à toutes les personnes qui le demandent ».
Donc comme pour rassurer tout le monde, le Premier Ministre ajoute : « il ne s’agit pas pour nous de fragiliser l’emploi, il ne s’agit pas pour nous de précariser l’emploi, il ne s’agit pas non plus de supprimer les contrats à durée indéterminée, nous n’avons jamais pensé supprimer les CDI dans le Code du travail ».
Seulement le discours semble un peu obscure car selon toujours Souleymane Ndéné Ndiaye : « en ouvrant ces discussions, le gouvernement cherche à trouver des solutions permettant de faire venir les investisseurs au Sénégal et créer les conditions de l’ouverture de notre pays à ces investisseurs. Il faut rendre flexible l’emploi et permettre aux employeurs de créer des emplois sans précariser l’emploi ».
Déjà, en marge des préparatifs vers la fête du 1er mai, des centrales syndicales comme : la CSA, l’UTS et la FGTS parlent «de grandes actions de mobilisation pour la défense de l’emploi et du pouvoir d’achat».
« Ceux qui pensent que le gouvernement a déposé un projet de loi pour modifier les dispositions du Code du travail sur le contrat à durée déterminée (CDD) se trompent. Ce projet de loi n’existe pas, il n’y a pas de projet de loi déposé ou préparé en vue de modifier le code du travail », a dit le Premier Ministre.
Sur ces instructions , le ministre du travail entame des négociations avec les différents partenaires et cela à la suite de ce constat : « comme vous le savez, les jeunes qui sortent des écoles ainsi que toutes les personnes qui sont sur le marché de l’emploi, qu’ils aient ou non des diplômes, prétendent occuper un poste, ont le droit de trouver un travail, le droit au travail est consacré par la constitution et donc, nous Etat, nous avons le devoir et l’obligation de trouver du travail à toutes les personnes qui le demandent ».
Donc comme pour rassurer tout le monde, le Premier Ministre ajoute : « il ne s’agit pas pour nous de fragiliser l’emploi, il ne s’agit pas pour nous de précariser l’emploi, il ne s’agit pas non plus de supprimer les contrats à durée indéterminée, nous n’avons jamais pensé supprimer les CDI dans le Code du travail ».
Seulement le discours semble un peu obscure car selon toujours Souleymane Ndéné Ndiaye : « en ouvrant ces discussions, le gouvernement cherche à trouver des solutions permettant de faire venir les investisseurs au Sénégal et créer les conditions de l’ouverture de notre pays à ces investisseurs. Il faut rendre flexible l’emploi et permettre aux employeurs de créer des emplois sans précariser l’emploi ».
Déjà, en marge des préparatifs vers la fête du 1er mai, des centrales syndicales comme : la CSA, l’UTS et la FGTS parlent «de grandes actions de mobilisation pour la défense de l’emploi et du pouvoir d’achat».
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"