Le syndicat de la Sénélec, le SUTELEC cap des biches a poussé un Ouf de soulagement avec le limogeage du Ministre d’Etat, Ministre de l’Energie, Samuel Ahmet Sarr intervenu ce lundi. Son secrétaire général Lamine Diarra, de révélé que: «nous l’avons combattu depuis 2004 et nous avions les raisons de le faire. Nous nous réjouissons du départ de Samuel Sarr». Pour lui, le départ de Samuel Sarr doit être analysé, si c’est la personne de Samuel Sarr qui faisait que les choses ne marchaient pas, nous espérons qu’avec ce nouveau venu, les choses vont changer.
Le syndicaliste d’avertir le tout nouveau Ministre de l’Energie: «si c’est pour un problème de politique énergétique qui ne marche pas que le nouveau, en l’occurrence Karim Wade, va perpétuer, c’est sur qu’il va nous trouver sur le terrain, nous allons nous opposer à lui et nous lui montrerons qu’il n’est pas question qu’on laisse les gens vieillir avec le secteur».
En outre, Lamine Diarra a confié que «ce qui est le plus urgent c’est de produire assez. Parce que quand on parle d’énergie, de fourniture de courant, il faudrait d’abord qu’il y ait assez de courant pour couvrir la demande, c’est ce qui fait défaut actuellement». Il a expliqué qu’«on a des centrales qui datent d’un certains nombres d’années. Ces centrales là ont été négligées, on n’a pas mis un rond dessus alors que les moyens étaient là. L’Etat parle de 500 Milliards et parfois de 700 Milliards, mais concrètement nous nous n’avons rien ici». Il est d’avis que «ce qui est urgent c’est de remettre ces centrales là en marche et cela c’est possible. La deuxième chose est que l’Etat, les partenaires et tous ceux qui doivent de l’argent à la Sénélec, qu’ils paient cet argent. La troisième chose c’est qu’il y ait une transparence dans la gestion de l’entreprise, dans l’octroie des marchés, tout ce qui se fait dans l’entreprise ça doit être transparent».
Le syndicaliste d’avertir le tout nouveau Ministre de l’Energie: «si c’est pour un problème de politique énergétique qui ne marche pas que le nouveau, en l’occurrence Karim Wade, va perpétuer, c’est sur qu’il va nous trouver sur le terrain, nous allons nous opposer à lui et nous lui montrerons qu’il n’est pas question qu’on laisse les gens vieillir avec le secteur».
En outre, Lamine Diarra a confié que «ce qui est le plus urgent c’est de produire assez. Parce que quand on parle d’énergie, de fourniture de courant, il faudrait d’abord qu’il y ait assez de courant pour couvrir la demande, c’est ce qui fait défaut actuellement». Il a expliqué qu’«on a des centrales qui datent d’un certains nombres d’années. Ces centrales là ont été négligées, on n’a pas mis un rond dessus alors que les moyens étaient là. L’Etat parle de 500 Milliards et parfois de 700 Milliards, mais concrètement nous nous n’avons rien ici». Il est d’avis que «ce qui est urgent c’est de remettre ces centrales là en marche et cela c’est possible. La deuxième chose est que l’Etat, les partenaires et tous ceux qui doivent de l’argent à la Sénélec, qu’ils paient cet argent. La troisième chose c’est qu’il y ait une transparence dans la gestion de l’entreprise, dans l’octroie des marchés, tout ce qui se fait dans l’entreprise ça doit être transparent».
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