Le SUTTAAAS a égrené un long chapelet de préoccupations des travailleurs du secteur aérien au cours d’une conférence de presse qu’il a animé ce mardi.
Le secrétaire général de ce syndicat a rappelé que si la baisse du trafic avec , les facteurs exogènes, la crise en côte d’ivoire, la politique commerciale de South Africa Airways, avec la renégociation des accords aériens, avec la réduction des vols de Air Brussels de 14 à 3, continue, il y aura la réduction des salaires, le chômage technique, le licenciement économique «qui a, du reste commencé».
Baïla Sow n’a pas oublié le problème de la précarité de l’emploi. A l’en croire, il y a du travail à l’aéroport. Et en tant que tel, les travailleurs doivent être embauchés parce que la sécurité ne rime pas avec la précarité de l’emploi.
C’est pourquoi, ce syndicat veut avoir des «professionnels qui ont t la lucidité» pour continuer de faire le travail qui est extrêmement important pour les personnes.
Dans la même lancée, le SUTTAAAS a appelé à des concertations sur le transfert à Ndiass. Selon Baïla Sow, personne ne sait jusque-là qui doit être transférer à l’aéroport international Blaise Diagne de Ndiass. Il a, aussi, noté que des opérateurs très importants dont le déplacement vers Ndiass est refusé. Or, indique le secrétaire dub SUTAS, «si elles ne vont pas, il y aura d’énormes problèmes».
Le secrétaire général de ce syndicat a rappelé que si la baisse du trafic avec , les facteurs exogènes, la crise en côte d’ivoire, la politique commerciale de South Africa Airways, avec la renégociation des accords aériens, avec la réduction des vols de Air Brussels de 14 à 3, continue, il y aura la réduction des salaires, le chômage technique, le licenciement économique «qui a, du reste commencé».
Baïla Sow n’a pas oublié le problème de la précarité de l’emploi. A l’en croire, il y a du travail à l’aéroport. Et en tant que tel, les travailleurs doivent être embauchés parce que la sécurité ne rime pas avec la précarité de l’emploi.
C’est pourquoi, ce syndicat veut avoir des «professionnels qui ont t la lucidité» pour continuer de faire le travail qui est extrêmement important pour les personnes.
Dans la même lancée, le SUTTAAAS a appelé à des concertations sur le transfert à Ndiass. Selon Baïla Sow, personne ne sait jusque-là qui doit être transférer à l’aéroport international Blaise Diagne de Ndiass. Il a, aussi, noté que des opérateurs très importants dont le déplacement vers Ndiass est refusé. Or, indique le secrétaire dub SUTAS, «si elles ne vont pas, il y aura d’énormes problèmes».
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