En déclarant officiellement sa candidature pour la mairie, le ministre Alyoune Badara Diop se positionne comme l’alternative crédible pour repositionner Bargny dans le giron des communes émergentes. Le secrétaire général adjoint du gouvernement, par ailleurs président du mouvement politique « Bargny Ca Kanam », a décliné les grandes lignes de sa feuille de route et donné les raisons de son gouvernement.
« J’ai accepté modestement de poser ma candidature pour rétablir la rupture de confiance entre l’Etat et la mairie et entre l’Etat du Sénégal et les populations de Bargny. Elles ont l’impression d’être oubliées par l’Etat, ce qui est loin d’être le cas. Il faut corriger cette impression et aider les populations à se retrouver dans les enjeux et les projets du chef de l’Etat Macky Sall », a déclaré Alyoune Badara Diop lors d’une assemblée générale de mobilisation.
Un besoin de changement que l’ancien préfet de Dakar compte piloter avec une équipe composée de cadres et d’acteurs socio-économiques pour impulser une nouvelle dynamique à Bargny. « C’est cet engagement à accompagner les populations, à porter leur espoir, à soutenir leurs efforts, à les encadrer, à les aider qui nous a poussé avec notre modeste expérience dans l’administration territoriale à vouloir aujourd’hui apporter notre contribution au développement économique et social de notre territoire. C’est un devoir et c’est un sacerdoce. Nous ne formulons pas d’attente particulière en termes de revenus mais notre volonté, notre engagement et notre détermination nous poussent à porter le combat avec l’équipe qui nous accompagne à pouvoir changer les choses à Bargny », précise l’actuel secrétaire général adjoint du gouvernement, rapporté par le correspondant du journal Le Témoin dans la zone de Rufisque-Bargny.
La situation socio-économique de Bargny, ville à la remorque de Diamniadio a beaucoup pesé sur la balance lors de son choix de répondre à l’appel du devoir. Une ville dont l’activité principale repose sur la pêche et ses dérivés aujourd’hui menacés par une forte industrialisation. « Il nous faut aider Bargny à avoir un avenir radieux en accrochant Bargny au train de l’émergence et en faisant en sorte que Diamniadio ne soit pas l’épicentre et que nous soyons, nous Bargny, le wagon qu’on accroche à la locomotive. Nous voulons que Bargny soit dans le dispositif et dans le cœur du progrès installé par le président de la République », a indiqué l’ancien préfet de Dakar.
Il a réaffirmé sa volonté de servir Bargny et non de se servir. Un nouveau style managérial afin de développer une politique de proximité dans une approche territoriale qui permette aux populations de ressentir les effets de l’action publique au niveau social. « Aujourd’hui, Bargny, avec 70.000 habitants, n’a que 04 postes de santé, une maternité qui est malade, des populations qui sont obligées d’aller à Rufisque pour se faire soigner. La mer n’est plus poissonneuse, nous pensons à réorienter les jeunes dans le sens de la formation pour les préparer à intégrer les projets conduits par le gouvernement », ambitionne le candidat déclaré Alyoune Badara Diop dans les colonnes du journal.
« J’ai accepté modestement de poser ma candidature pour rétablir la rupture de confiance entre l’Etat et la mairie et entre l’Etat du Sénégal et les populations de Bargny. Elles ont l’impression d’être oubliées par l’Etat, ce qui est loin d’être le cas. Il faut corriger cette impression et aider les populations à se retrouver dans les enjeux et les projets du chef de l’Etat Macky Sall », a déclaré Alyoune Badara Diop lors d’une assemblée générale de mobilisation.
Un besoin de changement que l’ancien préfet de Dakar compte piloter avec une équipe composée de cadres et d’acteurs socio-économiques pour impulser une nouvelle dynamique à Bargny. « C’est cet engagement à accompagner les populations, à porter leur espoir, à soutenir leurs efforts, à les encadrer, à les aider qui nous a poussé avec notre modeste expérience dans l’administration territoriale à vouloir aujourd’hui apporter notre contribution au développement économique et social de notre territoire. C’est un devoir et c’est un sacerdoce. Nous ne formulons pas d’attente particulière en termes de revenus mais notre volonté, notre engagement et notre détermination nous poussent à porter le combat avec l’équipe qui nous accompagne à pouvoir changer les choses à Bargny », précise l’actuel secrétaire général adjoint du gouvernement, rapporté par le correspondant du journal Le Témoin dans la zone de Rufisque-Bargny.
La situation socio-économique de Bargny, ville à la remorque de Diamniadio a beaucoup pesé sur la balance lors de son choix de répondre à l’appel du devoir. Une ville dont l’activité principale repose sur la pêche et ses dérivés aujourd’hui menacés par une forte industrialisation. « Il nous faut aider Bargny à avoir un avenir radieux en accrochant Bargny au train de l’émergence et en faisant en sorte que Diamniadio ne soit pas l’épicentre et que nous soyons, nous Bargny, le wagon qu’on accroche à la locomotive. Nous voulons que Bargny soit dans le dispositif et dans le cœur du progrès installé par le président de la République », a indiqué l’ancien préfet de Dakar.
Il a réaffirmé sa volonté de servir Bargny et non de se servir. Un nouveau style managérial afin de développer une politique de proximité dans une approche territoriale qui permette aux populations de ressentir les effets de l’action publique au niveau social. « Aujourd’hui, Bargny, avec 70.000 habitants, n’a que 04 postes de santé, une maternité qui est malade, des populations qui sont obligées d’aller à Rufisque pour se faire soigner. La mer n’est plus poissonneuse, nous pensons à réorienter les jeunes dans le sens de la formation pour les préparer à intégrer les projets conduits par le gouvernement », ambitionne le candidat déclaré Alyoune Badara Diop dans les colonnes du journal.
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