Le directeur de la lutte contre la maladie (DLM) au ministère de la Santé et de l’Action sociale, Mahamadou Moustapha Diop, a annoncé lors d'un point de presse hier, la conception imminente d'un plan national dédié à la prise en charge des maladies rares. Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts visant à renforcer les équipements, en particulier dans les domaines des explorations radiologiques et biologiques.
« La perspective de l'élaboration de ce plan national dédié à la lutte contre les maladies rares constituera indubitablement une contribution significative des facultés de médecine sénégalaises au renforcement de la prise en charge de ces affections dans notre pays », a déclaré M. Diop.
Il a souligné la complexité des maladies rares, caractérisées par un faible niveau de compréhension tant par la population que par le personnel médical. Ce qui entraîne souvent des défis diagnostiques, nécessitant une attention particulière pour tendre vers la couverture sanitaire universelle.
Mahamadou Moustapha Diop a expliqué « qu'une maladie est considérée comme rare lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000 dans la population générale, selon la définition européenne sur les médicaments orphelins. »
Malgré des progrès notables dans la prise en charge de ces maladies, des obstacles persistants, notamment la pénurie de ressources humaines spécialisées, la formation, les équipements médicaux, le financement et la recherche. À en croire le DLM, « les moyens nécessaires pour la prise en charge des maladies rares sont précieux et souvent inaccessibles pour la plupart de nos populations ».
Il a aussi évoqué l'écart significatif entre les régions du Nord et du Sud dans ce domaine. « Les moyens nécessaires pour la prise en charge des maladies rares ‘’sont coûteux et souvent inaccessibles pour la plupart de nos populations », a-t-il signalé.
« La perspective de l'élaboration de ce plan national dédié à la lutte contre les maladies rares constituera indubitablement une contribution significative des facultés de médecine sénégalaises au renforcement de la prise en charge de ces affections dans notre pays », a déclaré M. Diop.
Il a souligné la complexité des maladies rares, caractérisées par un faible niveau de compréhension tant par la population que par le personnel médical. Ce qui entraîne souvent des défis diagnostiques, nécessitant une attention particulière pour tendre vers la couverture sanitaire universelle.
Mahamadou Moustapha Diop a expliqué « qu'une maladie est considérée comme rare lorsqu'elle touche moins d'une personne sur 2 000 dans la population générale, selon la définition européenne sur les médicaments orphelins. »
Malgré des progrès notables dans la prise en charge de ces maladies, des obstacles persistants, notamment la pénurie de ressources humaines spécialisées, la formation, les équipements médicaux, le financement et la recherche. À en croire le DLM, « les moyens nécessaires pour la prise en charge des maladies rares sont précieux et souvent inaccessibles pour la plupart de nos populations ».
Il a aussi évoqué l'écart significatif entre les régions du Nord et du Sud dans ce domaine. « Les moyens nécessaires pour la prise en charge des maladies rares ‘’sont coûteux et souvent inaccessibles pour la plupart de nos populations », a-t-il signalé.
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