Le cumul des fonctions de président de la République et de chef de parti continue d’être un point bloquant dans les discussions de la commission du dialogue politique, dirigée par le Général Mamadou Niang.
Selon Déthié Faye du pole des non-alignés, parmi les trois points abordés jeudi, à savoir la suppléance des fonctions du maire du président de la République, et la question des autorités en charge des élections, la problématique du cumul des fonctions du chef de parti n’a pas encore abouti à un consensus.
« Ces trois questions, on en avait discuté avant même la suspension des travaux et on avait dit qu’on allait y revenir pour voir si les positions allaient évoluer ou pas. Mais on ne sait pas entendu », renseigne M. Faye.
Selon Cheikh Sarr, du pôle de la majorité, cette question, même en terme sociologique n’est pas opportun au Sénégal, indiquant que cela peut être source de dualité dans un parti.
« (…) qu’un président, porté à la tête de la magistrature suprême par son parti ou sa coalition, démissionne de ses instances, cela équivaudrait à une forme de trahison envers ses camarades de parti », estime M. Sarr, par ailleurs, ancien maire de Guédiawaye, dans les colonnes du journal L’AS.
Selon Déthié Faye du pole des non-alignés, parmi les trois points abordés jeudi, à savoir la suppléance des fonctions du maire du président de la République, et la question des autorités en charge des élections, la problématique du cumul des fonctions du chef de parti n’a pas encore abouti à un consensus.
« Ces trois questions, on en avait discuté avant même la suspension des travaux et on avait dit qu’on allait y revenir pour voir si les positions allaient évoluer ou pas. Mais on ne sait pas entendu », renseigne M. Faye.
Selon Cheikh Sarr, du pôle de la majorité, cette question, même en terme sociologique n’est pas opportun au Sénégal, indiquant que cela peut être source de dualité dans un parti.
« (…) qu’un président, porté à la tête de la magistrature suprême par son parti ou sa coalition, démissionne de ses instances, cela équivaudrait à une forme de trahison envers ses camarades de parti », estime M. Sarr, par ailleurs, ancien maire de Guédiawaye, dans les colonnes du journal L’AS.
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