L' émergence des mouvements citoyens caractérise présentement le champ politique au Sénégal. Pourtant pour le Représentant de la Fondation IEPALA (institut d’Etudes politiques pour l’Afrique et l’Amérique latine), Carlos Rodriguez, la société civile ne doit pas arriver au pouvoir. «Son pouvoir est moral, éthique et de valeur », a dit M. Rodriguez.
«Si la société civile arrive au pouvoir, elle cesse d’être société civile», a ajouté Carlos Rodriguez pour qui la société civile, c’est la réalité du troisième pouvoir». «Jamais la société civile va arriver au pouvoir car le pouvoir de la société civile ce n’est pas un pouvoir politique», a répété M. Rodriguez qui était au deuxième forum pan -africain sur la démocratie. Sa fondation, IEPALA, qui lutte pour la justice dans le monde, est partenaire de cette manifestation
Toutefois, il a indiqué qu’il peut avoir des représentants élus par la société civile.
Il n’a pas manqué de relever les difficultés qui guettent la société civile. «On voit un groupe qui est intéressé mais après il commence à avoir des difficultés au moment où on est confronté avec les institutions qui ne sont pas d’accord ou les compagnies, ou les groupes», explique M. Rodriguez. Ce qui ne doit pas, selon lui être un motif de découragement.
Le problème peut venir au sein des membres, donc un problème interne. Car comme le disent certains, on ne pense pas de la même manière dans la société civile. La troisième difficulté doit venir du manque de ressources humaines. «En plus de la volonté, on le fait par bénévolat,s’il n’y a pas de bras au finish on s’essouffle», a fait savoir M Carlos Rodriguez.
«Si la société civile arrive au pouvoir, elle cesse d’être société civile», a ajouté Carlos Rodriguez pour qui la société civile, c’est la réalité du troisième pouvoir». «Jamais la société civile va arriver au pouvoir car le pouvoir de la société civile ce n’est pas un pouvoir politique», a répété M. Rodriguez qui était au deuxième forum pan -africain sur la démocratie. Sa fondation, IEPALA, qui lutte pour la justice dans le monde, est partenaire de cette manifestation
Toutefois, il a indiqué qu’il peut avoir des représentants élus par la société civile.
Il n’a pas manqué de relever les difficultés qui guettent la société civile. «On voit un groupe qui est intéressé mais après il commence à avoir des difficultés au moment où on est confronté avec les institutions qui ne sont pas d’accord ou les compagnies, ou les groupes», explique M. Rodriguez. Ce qui ne doit pas, selon lui être un motif de découragement.
Le problème peut venir au sein des membres, donc un problème interne. Car comme le disent certains, on ne pense pas de la même manière dans la société civile. La troisième difficulté doit venir du manque de ressources humaines. «En plus de la volonté, on le fait par bénévolat,s’il n’y a pas de bras au finish on s’essouffle», a fait savoir M Carlos Rodriguez.
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