Diantre! "La possession du pouvoir corrompt inévitablement la raison" disait Emmanuel Kant. Voilà, une citation décrivant bien la relation actuelle entre l'Exécutif et le Législatif. Entre les deux, le point de non retour est atteint. Inévitablement, l'on s'achemine vers le point culminant de la rupture. Ne sommes nous pas en train d'enterrer toute une génération de représentants du peuple? Certainement!
Tous les faits jouent en faveur d'un dialogue de sourd. L'Exécutif comme le Législatif chacun use de sa possession de pouvoir. A l'Assemblée nationale une portion de députés incarnant la majorité n'entend pas bouger d'un iota pour céder une parcelle de son pouvoir. Le même scénario se joue de l'autre partie de l'avenue de l'ancien chantre de la Négritude (LSS).
La foi, en toute circonstance, doit être inébranlable. La conviction de la foi reste l'idéal dans la vie d'un croyant. Nous clamons tous notre foi mais sommes nous convaincus de la conviction de notre foi. C’est à ce niveau qu’il faut mener le débat non pas pour trouver des résultats à notre conviction de la foi mais à élaguer ce qui peut épaissir cette conviction de la foi. Est-ce le débat que cherche à poser le directeur des moyens généraux de la Présidence? Qui peut-être s'en est mal pris. Au point qu'une averse de salives se déverse sur lui. C'est à l'image du petit cheval blanc tous derrière et lui devant.
Tous les faits jouent en faveur d'un dialogue de sourd. L'Exécutif comme le Législatif chacun use de sa possession de pouvoir. A l'Assemblée nationale une portion de députés incarnant la majorité n'entend pas bouger d'un iota pour céder une parcelle de son pouvoir. Le même scénario se joue de l'autre partie de l'avenue de l'ancien chantre de la Négritude (LSS).
La foi, en toute circonstance, doit être inébranlable. La conviction de la foi reste l'idéal dans la vie d'un croyant. Nous clamons tous notre foi mais sommes nous convaincus de la conviction de notre foi. C’est à ce niveau qu’il faut mener le débat non pas pour trouver des résultats à notre conviction de la foi mais à élaguer ce qui peut épaissir cette conviction de la foi. Est-ce le débat que cherche à poser le directeur des moyens généraux de la Présidence? Qui peut-être s'en est mal pris. Au point qu'une averse de salives se déverse sur lui. C'est à l'image du petit cheval blanc tous derrière et lui devant.
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