Le Major Aliou Kandji qui était l'invité du Jury du Dimanche (JDD) sur Iradio, ce 1er décembre 2024, a déclaré que ‘’le président de la République doit œuvrer pour la mise en place d’un Sénat fort qui aura des pouvoirs pour mieux contrôler le fonctionnement des institutions’’. Il a estimé que ‘’l’heure est au travail’’ parce que le pouvoir en place dispose d’une ‘’forte majorité à l’Assemblée nationale’’.
« Je conseille le président Diomaye de créer un Sénat très puissant qui a de l’ascendant sur eux. Qui a du pouvoir de contrôle démocratique, même du contrôle de fonctionnement de toutes les institutions et autres. S’il y a des choses à prendre, s’ils ne les prennent pas, le Sénat l’impose. Mais le Sénat est avec le président de la République, pas avec le Premier ministre, ni avec les parlementaires. Diomaye à intérêt a créé un SENA puissant pour lui-même. Les gens peuvent trahir à tout moment », dit-il.
Selon l'invité du JDD, « il y a des jeux d’intérêt et de combinaison. L’être humain est comme ça. Ça change à tout moment. Diomaye pour pouvoir gouverner, il faut qu’il ait une garantie qui va le protéger, l’institutionnaliser sur le plan de la suprématie. Ils n’auront plus d’argument vis-à-vis des populations. C’est fini. Maintenant, le problème est un problème interne. Ça sera entre eux et le président de la République ».
« Je conseille le président Diomaye de créer un Sénat très puissant qui a de l’ascendant sur eux. Qui a du pouvoir de contrôle démocratique, même du contrôle de fonctionnement de toutes les institutions et autres. S’il y a des choses à prendre, s’ils ne les prennent pas, le Sénat l’impose. Mais le Sénat est avec le président de la République, pas avec le Premier ministre, ni avec les parlementaires. Diomaye à intérêt a créé un SENA puissant pour lui-même. Les gens peuvent trahir à tout moment », dit-il.
Selon l'invité du JDD, « il y a des jeux d’intérêt et de combinaison. L’être humain est comme ça. Ça change à tout moment. Diomaye pour pouvoir gouverner, il faut qu’il ait une garantie qui va le protéger, l’institutionnaliser sur le plan de la suprématie. Ils n’auront plus d’argument vis-à-vis des populations. C’est fini. Maintenant, le problème est un problème interne. Ça sera entre eux et le président de la République ».
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