Le Représentant du ministère de la Recherche scientifique qui a salué ce travail, a rappelé l’importance de ce secteur qui contribue à hauteur de 50 % au produit national brut (PIB). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, il estime que les résultats issus de cette enquête qui a débuté en 2008 vont servir à sa structure de support sur les recherches qu’elle fait sur ce secteur.
Selon M. Abdoulaye Niang Junior, expert sociologue de l’étude au Sénégal qui a présenté le travail sur le Sénégal, ces activités sont réparties en trois grandes branches. Il s’agit des télécommunications qui occupent 75,49%, de l’informatique et de l’internet avec un pourcentage de 15,38 , et de l’audiovisuel numérique avec (9,13%) avec une très forte présence de la téléphonie mobile et des activités connexes (ventes de cartes seddo, izzi...).
Par ailleurs, l’étude a montré que 90,31 % des activités dans ce secteur informel sont visibles contrairement à ce qui se dit. « Les résultats de l’étude ont fait apparaître une contre-vérité selon laquelle le secteur informel est «souterrain». En effet, dans le rapport, indique M. Seydina Ndiaye, enseignant chercheur à l’Université de Saint-Louis, «il est signalé que «l’informel» est géré par « des acteurs qui en font un secteur d’activités à visage humain et aux cadres socialisateurs qui s’inscrivent dans la continuité des cadres sociaux locaux (…). Le chercheur explique également que l’informel des TIC est une scène d’élaboration et de construction du social qui « secondarise » l’économique stricto sensu devenue enchâssée dans le socioculturel.
Il faut noter que les résultats globaux des trois pays consernés dans cette étude seront rendus public au mois de juillet au Burkina Faso.
Selon M. Abdoulaye Niang Junior, expert sociologue de l’étude au Sénégal qui a présenté le travail sur le Sénégal, ces activités sont réparties en trois grandes branches. Il s’agit des télécommunications qui occupent 75,49%, de l’informatique et de l’internet avec un pourcentage de 15,38 , et de l’audiovisuel numérique avec (9,13%) avec une très forte présence de la téléphonie mobile et des activités connexes (ventes de cartes seddo, izzi...).
Par ailleurs, l’étude a montré que 90,31 % des activités dans ce secteur informel sont visibles contrairement à ce qui se dit. « Les résultats de l’étude ont fait apparaître une contre-vérité selon laquelle le secteur informel est «souterrain». En effet, dans le rapport, indique M. Seydina Ndiaye, enseignant chercheur à l’Université de Saint-Louis, «il est signalé que «l’informel» est géré par « des acteurs qui en font un secteur d’activités à visage humain et aux cadres socialisateurs qui s’inscrivent dans la continuité des cadres sociaux locaux (…). Le chercheur explique également que l’informel des TIC est une scène d’élaboration et de construction du social qui « secondarise » l’économique stricto sensu devenue enchâssée dans le socioculturel.
Il faut noter que les résultats globaux des trois pays consernés dans cette étude seront rendus public au mois de juillet au Burkina Faso.
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