24 mars, c’est la journée mondiale de la tuberculose mais c’est une maladie plus dangereuse qui menace sur nos frontières. Il s’agit d’un véritable monstre tueur : le virus Ebola qui recensée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 1976 a fait 150 morts sur 284 cas et pis, 280 décès sur 318 cas. En Guinée où l’épidémie est décelée depuis février dernier, on parle de 59 morts sur 80 cas. Le virus ayant fini d’atteindre la capitale guinéenne, Conakry, les autorités sénégalaises se sont levées.
A travers une réactivation du système de surveillance épidémiologique, il s’agit selon le Directeur de la prévention, « au ni veau du pays, de manière continue, permanente, on suit l’ensemble des maladies à potentiel épidémique qui surviennent dans le territoire national. Elles sont notifiées régulièrement par les structures sanitaires au niveau central ». Et Mamadou Ndiaye de déclarer qu’ « une fiche technique a été envoyé à l’ensemble des structures sanitaires. C’est la carte d’identité de la maladie. C’est-à-dire comment reconnaître la maladie et quelle est la conduite à tenir face à cette maladie ».
Toutes structures de santé en dispose, sur ce, « dès qu’il y aura un cas, elles vont le notifier immédiatement au niveau supérieur pour qu’on puisse venir en appoint » car prévient-il, « c’est une maladie pour laquelle, il n’y a pas de vaccin encore moins de médicaments ». Provenant d’un nom d’une rivière passant par la ville de Yambuku, en République Démocratique de Congo (RDC), le virus Ebola se transmet par contact direct (sang, sperme, excrétions, salives) ou les tissus des sujets infectés vivants ou morts. Le monstre tueur se manifeste après une période d’incubation de deux (2) à 21 jours, par une brusque montée de température avec une faiblesse intense, maux de gorge…
Des symptômes suivies de vomissements, diarrhées, éruptions cutanées, insuffisance rénale et hépatite et hémorragies internes et externes.
A travers une réactivation du système de surveillance épidémiologique, il s’agit selon le Directeur de la prévention, « au ni veau du pays, de manière continue, permanente, on suit l’ensemble des maladies à potentiel épidémique qui surviennent dans le territoire national. Elles sont notifiées régulièrement par les structures sanitaires au niveau central ». Et Mamadou Ndiaye de déclarer qu’ « une fiche technique a été envoyé à l’ensemble des structures sanitaires. C’est la carte d’identité de la maladie. C’est-à-dire comment reconnaître la maladie et quelle est la conduite à tenir face à cette maladie ».
Toutes structures de santé en dispose, sur ce, « dès qu’il y aura un cas, elles vont le notifier immédiatement au niveau supérieur pour qu’on puisse venir en appoint » car prévient-il, « c’est une maladie pour laquelle, il n’y a pas de vaccin encore moins de médicaments ». Provenant d’un nom d’une rivière passant par la ville de Yambuku, en République Démocratique de Congo (RDC), le virus Ebola se transmet par contact direct (sang, sperme, excrétions, salives) ou les tissus des sujets infectés vivants ou morts. Le monstre tueur se manifeste après une période d’incubation de deux (2) à 21 jours, par une brusque montée de température avec une faiblesse intense, maux de gorge…
Des symptômes suivies de vomissements, diarrhées, éruptions cutanées, insuffisance rénale et hépatite et hémorragies internes et externes.
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