Pour le Sénégal l’étude note que les Services de sécurité, l’Externalisation des processus d’affaire, l’Agriculture, la Construction et l’Education auront le potentiel d’emplois le plus élevé. Concernant la promotion de l’emploi des jeunes par le secteur privé, il y a très peu d’initiatives au niveau du secteur privé. En effet, les incertitudes actuelles dans l’économie en général poussent bon nombre d’entreprises à remettre à plus tard le recrutement des nouveaux employés selon les conclusions.
Au Ghana, il apparaît que 96% des opportunités de travail sur les cinq prochaines années proviendront des occupations relatives aux Forces armées, les occupations élémentaires, les Techniciens professionnels et apprentis, les Professionnels de la vente et du service et les Postes de support administratif. L’Agriculture, l’Externalisation des processus d’affaire, les Banques et autres services financiers sont en tête d’après le rapport.
Cependant, pour tous les deux pays, l’étude révèle quelques obstacles majeurs. Les jeunes manquent de savoir vivre. Ils ne savent pas comment s’adresser à un supérieur, comment s’habiller pour aller au travail. Ainsi la directrice de Focus Africa (cabinet qui a réalisé l’étude), Madjiguène Sock, estime que les jeunes doivent prendre des initiatives et développer leurs capacités d’être en équipe.
En outre, la différence entre les deux pays est la création de travail partiel ou saisonnier au Sénégal et la création d’emploi en temps plein au Ghana.
Le YEN-WA (Youth Employment Network /West Africa) prétend être une plateforme globale d’action dédiée au développement et à la mise en œuvre de stratégies qui donnent aux jeunes de par le monde, une véritable chance de trouver un travail décent et productif. Les conclusions de l’étude au Ghana et au Sénégal ont été présentées en collaboration avec la Fondation Internationale pour la Jeunesse (IYF).
Au Ghana, il apparaît que 96% des opportunités de travail sur les cinq prochaines années proviendront des occupations relatives aux Forces armées, les occupations élémentaires, les Techniciens professionnels et apprentis, les Professionnels de la vente et du service et les Postes de support administratif. L’Agriculture, l’Externalisation des processus d’affaire, les Banques et autres services financiers sont en tête d’après le rapport.
Cependant, pour tous les deux pays, l’étude révèle quelques obstacles majeurs. Les jeunes manquent de savoir vivre. Ils ne savent pas comment s’adresser à un supérieur, comment s’habiller pour aller au travail. Ainsi la directrice de Focus Africa (cabinet qui a réalisé l’étude), Madjiguène Sock, estime que les jeunes doivent prendre des initiatives et développer leurs capacités d’être en équipe.
En outre, la différence entre les deux pays est la création de travail partiel ou saisonnier au Sénégal et la création d’emploi en temps plein au Ghana.
Le YEN-WA (Youth Employment Network /West Africa) prétend être une plateforme globale d’action dédiée au développement et à la mise en œuvre de stratégies qui donnent aux jeunes de par le monde, une véritable chance de trouver un travail décent et productif. Les conclusions de l’étude au Ghana et au Sénégal ont été présentées en collaboration avec la Fondation Internationale pour la Jeunesse (IYF).
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