Les enseignants regroupés au sein de l’Alliance pour la République se démarquent de tout acte allant dans le sens d’installer la violence dans la campagne électorale qui démarre le 3 février prochain, ainsi que pendant le scrutin du 24 de ce mois.
«Nous demandons aux sympathisants, aux militants, de voter dans la tranquillité, dans le respect mutuel et aussi éviter les insultes, les propos désobligeants, qui gênent. On n’a pas besoin d’insulter, de dire des contre-vérités, pour exister politiquement ou pour faire le buzz », a déclaré Ahmet Suzanne Camara, membre dudit réseau.
En conférence de presse ce vendredi matin, M. Camara appelle «tout le monde à la retenue. La campagne électorale doit se passer dans la paix et la tranquillité pour tout le monde. Maintenant, tout candidat peut faire de telle sorte que sa caravane ne soit pas attaquée.» N’empêche, les enseignants se disent convaincus qu’il n’y aura pas de violence cette année.
Quant aux ralliements de certaines personnalités à l’opposition, ils minimisent et martèlent qu’elles ne font pas le poids devant les arrivées notées dans les rangs de la coalition présidentielle. Puisque, martèlent-ils, même sans ces derniers, leur candidat pourrait passer dès le premier tour.
Revenant sur l’impact que pourrait avoir la campagne sur les enseignements, M. Camara se dit convaincu qu’il ne doit pas y en avoir si ses collègues font la part des choses d'autant plus que la plupart du temps, les activités se déroulent le soir. Et si ce n’est pas le cas, il les invite à prioriser les cours. Mais en aucune manière, ils ne doivent s’adonner à de la politique dans les écoles.
«Nous demandons aux sympathisants, aux militants, de voter dans la tranquillité, dans le respect mutuel et aussi éviter les insultes, les propos désobligeants, qui gênent. On n’a pas besoin d’insulter, de dire des contre-vérités, pour exister politiquement ou pour faire le buzz », a déclaré Ahmet Suzanne Camara, membre dudit réseau.
En conférence de presse ce vendredi matin, M. Camara appelle «tout le monde à la retenue. La campagne électorale doit se passer dans la paix et la tranquillité pour tout le monde. Maintenant, tout candidat peut faire de telle sorte que sa caravane ne soit pas attaquée.» N’empêche, les enseignants se disent convaincus qu’il n’y aura pas de violence cette année.
Quant aux ralliements de certaines personnalités à l’opposition, ils minimisent et martèlent qu’elles ne font pas le poids devant les arrivées notées dans les rangs de la coalition présidentielle. Puisque, martèlent-ils, même sans ces derniers, leur candidat pourrait passer dès le premier tour.
Revenant sur l’impact que pourrait avoir la campagne sur les enseignements, M. Camara se dit convaincu qu’il ne doit pas y en avoir si ses collègues font la part des choses d'autant plus que la plupart du temps, les activités se déroulent le soir. Et si ce n’est pas le cas, il les invite à prioriser les cours. Mais en aucune manière, ils ne doivent s’adonner à de la politique dans les écoles.
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