
Suite à la sortie du ministre de la Santé concernant les indemnités de logement, les contractuels de la santé multiplient les sorties pour réclamer leur part. Faute de quoi, ils n’excluent pas de mettre en branle leur plan d’actions.
Ils ont tenu samedi un point de presse pour demander au ministère de la Santé et de l’action sociale, le versement de leurs primes de logement.
Selon le coordonnateur du Collectif national des contractuels (Cnc/Eps), Abou Ba, «Une fois l’argent au ministère de la Santé, la ministre a sorti un décret destiné aux fonctionnaires qu’elle veut appliquer aux contractuels de la santé. Or, au départ, il n’y avait pas cette clé de répartition. Elle devait normalement distribuer l’argent à tous, y compris à tous les contractuels », dénonce le coordonnateur.
Et de poursuivre, « maintenant, elle dit qu’elle a remis le reste de l’argent au ministre des Finances. Vous venez de diviser le personnel, vous payez le dixième et le reste vous dites que vous l’avez retourné. Ce décret ne peut pas être au-dessus des instructions du président de la République. L’Administration ne fonctionne pas comme ça. Il y a une traçabilité, donc il n’y aura pas de faute de gestion. C’est ça notre problème», s’indigne Abou Ba.
Ils ont tenu samedi un point de presse pour demander au ministère de la Santé et de l’action sociale, le versement de leurs primes de logement.
Selon le coordonnateur du Collectif national des contractuels (Cnc/Eps), Abou Ba, «Une fois l’argent au ministère de la Santé, la ministre a sorti un décret destiné aux fonctionnaires qu’elle veut appliquer aux contractuels de la santé. Or, au départ, il n’y avait pas cette clé de répartition. Elle devait normalement distribuer l’argent à tous, y compris à tous les contractuels », dénonce le coordonnateur.
Et de poursuivre, « maintenant, elle dit qu’elle a remis le reste de l’argent au ministre des Finances. Vous venez de diviser le personnel, vous payez le dixième et le reste vous dites que vous l’avez retourné. Ce décret ne peut pas être au-dessus des instructions du président de la République. L’Administration ne fonctionne pas comme ça. Il y a une traçabilité, donc il n’y aura pas de faute de gestion. C’est ça notre problème», s’indigne Abou Ba.
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