A l’occasion de sa conférence de presse conjointe avec le leader de Pastef-Les Patriotes, Ousmane Sonko, Jean-Luc Mélenchon voit en la jeunesse africaine « le levier de développement et des défis futurs ».
Il a soutenu à la salle UCAD 2 de Dakar : « Nous sommes 8 milliards d’individus dans la planète. A la fin de ce siècle, nous serons 11 milliards. Mais imaginez, le continent qui disait le « continent vide » aura, à lui-seul, quatre milliards d’habitants. Je vous demande de réfléchir sur l’essentiel du défis que portera l’humanité résultant de propagation de l’humanité sera sur vos épaules. Vous êtes la première génération qui devra répondre aux défis de l’espèce humaine. C’est-à-dire qu’allez-vous faire pour inventer un mode de production qui ne soit plus dans lequel nous vivons. Vous êtes donc au pied du mur pour réaliser cela ».
Parlant du dédoublement des populations de certains pays africains, Jean-Luc Mélenchon poursuit dans sa logique, envers la jeunesse sénégalaise, avant de décliner les voies et moyens à utiliser : « Voilà, le défi auquel vous devrez répondre et que vous avez commencé d’ores et déjà. Pour produire et reproduire votre existence matériel, vous avez besoin des réseaux collectifs, des réseaux de l’eau, de l’électricité, des égouts, de l’alimentation. Et la propriété de ces réseaux, tantôt privée tantôt publique, change la condition de ceux qui peuvent ou ne peuvent pas y accéder. Je pense aux réseaux de santé. Cette situation fait surgir un nouvel acteur social. C’est le peuple. C’est un acteur politique dont l’existence dépend du mode de relation qu’il a avec les réseaux ».
Selon Mélenchon, il faudra rompre avec toutes les « dépendances ». En visite à Dakar depuis mercredi 15 mai, le leader politique de La France Insoumise encourage les militants de Pastef, au pouvoir au Sénégal.
« Vous avez sans doute la responsabilité, compte tenu toute l’Afrique vous regarde. Une responsabilité singulière à laquelle vous devez montrer la direction. La question de lutte contre l’impérialisme est toujours d’actualité mais il faut voir une méthode de la production et l’échange, ainsi que la production intellectuelle », a-t-il confié, avec aisance.
Il a soutenu à la salle UCAD 2 de Dakar : « Nous sommes 8 milliards d’individus dans la planète. A la fin de ce siècle, nous serons 11 milliards. Mais imaginez, le continent qui disait le « continent vide » aura, à lui-seul, quatre milliards d’habitants. Je vous demande de réfléchir sur l’essentiel du défis que portera l’humanité résultant de propagation de l’humanité sera sur vos épaules. Vous êtes la première génération qui devra répondre aux défis de l’espèce humaine. C’est-à-dire qu’allez-vous faire pour inventer un mode de production qui ne soit plus dans lequel nous vivons. Vous êtes donc au pied du mur pour réaliser cela ».
Parlant du dédoublement des populations de certains pays africains, Jean-Luc Mélenchon poursuit dans sa logique, envers la jeunesse sénégalaise, avant de décliner les voies et moyens à utiliser : « Voilà, le défi auquel vous devrez répondre et que vous avez commencé d’ores et déjà. Pour produire et reproduire votre existence matériel, vous avez besoin des réseaux collectifs, des réseaux de l’eau, de l’électricité, des égouts, de l’alimentation. Et la propriété de ces réseaux, tantôt privée tantôt publique, change la condition de ceux qui peuvent ou ne peuvent pas y accéder. Je pense aux réseaux de santé. Cette situation fait surgir un nouvel acteur social. C’est le peuple. C’est un acteur politique dont l’existence dépend du mode de relation qu’il a avec les réseaux ».
Selon Mélenchon, il faudra rompre avec toutes les « dépendances ». En visite à Dakar depuis mercredi 15 mai, le leader politique de La France Insoumise encourage les militants de Pastef, au pouvoir au Sénégal.
« Vous avez sans doute la responsabilité, compte tenu toute l’Afrique vous regarde. Une responsabilité singulière à laquelle vous devez montrer la direction. La question de lutte contre l’impérialisme est toujours d’actualité mais il faut voir une méthode de la production et l’échange, ainsi que la production intellectuelle », a-t-il confié, avec aisance.
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