Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, avait cité les lanceurs d’alerte dans son discours du 3 avril dernier. Un « nouveau souffle » pour les adeptes de ce type de signalement. Selon la chargée de la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF), Marie Paule Conaré, le travail desdits lanceurs, accompagné d’une protection juridique, participerait même à la réduction de la « corruption et des pratiques similaires ».
Elle a affirmé : « L’existence des lanceurs d’alerte dissuade même ceux qui veulent s’adonner à la corruption et à d’autres pratiques similaires ». Un autre souci reste la publication ou non des informations recueillies par ces lanceurs d’alerte. Mais selon Mme Conaré, celle-ci « devrait poser moins de difficultés. L’essentiel est que le lanceur d’alerte ait des preuves de ce qu’il avance. C’est le plus important », a-t-elle martelé, saluant dans la foulée l’annonce du nouveau chef de l’Etat.
Et d’ajouter : « Normalement, dans un Etat de droit, les preuves devraient suffire mais, il faut le dire, chaque cas est spécifique et différent.
Elle a affirmé : « L’existence des lanceurs d’alerte dissuade même ceux qui veulent s’adonner à la corruption et à d’autres pratiques similaires ». Un autre souci reste la publication ou non des informations recueillies par ces lanceurs d’alerte. Mais selon Mme Conaré, celle-ci « devrait poser moins de difficultés. L’essentiel est que le lanceur d’alerte ait des preuves de ce qu’il avance. C’est le plus important », a-t-elle martelé, saluant dans la foulée l’annonce du nouveau chef de l’Etat.
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