Le G6 s'est prononcé sur la rencontre tenue mardi à la Primature, avec le Premier ministre Mohamad Boun Abdoullah Dionne. Le secrétaire général du Cadre unitaire des syndicats du secondaire (Cusems) Abdoulaye Ndoye a précisé qu’il s’agissait d’un monitoring et non d'une négociation.
Selon M. Ndoye la question de l’indemnité de logement reste une exigence pour une solution à la crise scolaire. « Il s’agissait pour le Premier ministre de convoquer une séance de monitoring. Parce que lors de la rencontre du 19 janvier, il a constaté lui-même que ces accords n’étaient pas signés. Lorsqu’il nous a posé la question 'pourquoi les accords ne sont pas signés', on lui a énuméré tous les accords qui n’ont pas été respectés. Il a donné des instructions », a déclaré le secrétaire général du Cusems.
M. Ndoye d’ajouter : « lors de la rencontre du 16 mars, le chef du gouvernement s’est rendu compte que ses instructions n’ont pas été appliquées. C’est dans ce cadre qu’il s’est engagé lui-même à présider des séances de monitoring. Ce n’est pas une négociation. Certes les accords sont signés, mais il s’agit de les respecter ».
Le secrétaire général du Cusems a par ailleurs relevé que lors de la réunion, les syndicalistes ont attiré l’attention de M. Dionne sur le fait qu’aujourd’hui la question centrale qui préoccupe les enseignants est la question de l’alignement de l’indemnité logement pour la justice et l’équité.
Après la publication du pré-rapport sur l’étude sur le système de rémunération des agents de l’Etat, dénonce-t-il, les enseignants exigent que les injustices soient corrigées. « Et, sur cette question le Premier ministre a convoqué une rencontre vendredi prochain. Mais nous lui avons dit que la question qui peut résoudre la situation, c’est la question de l’indemnité de logement et la carrière des enseignants », a-t-il laissé entendre sur la Rfm
Selon M. Ndoye la question de l’indemnité de logement reste une exigence pour une solution à la crise scolaire. « Il s’agissait pour le Premier ministre de convoquer une séance de monitoring. Parce que lors de la rencontre du 19 janvier, il a constaté lui-même que ces accords n’étaient pas signés. Lorsqu’il nous a posé la question 'pourquoi les accords ne sont pas signés', on lui a énuméré tous les accords qui n’ont pas été respectés. Il a donné des instructions », a déclaré le secrétaire général du Cusems.
M. Ndoye d’ajouter : « lors de la rencontre du 16 mars, le chef du gouvernement s’est rendu compte que ses instructions n’ont pas été appliquées. C’est dans ce cadre qu’il s’est engagé lui-même à présider des séances de monitoring. Ce n’est pas une négociation. Certes les accords sont signés, mais il s’agit de les respecter ».
Le secrétaire général du Cusems a par ailleurs relevé que lors de la réunion, les syndicalistes ont attiré l’attention de M. Dionne sur le fait qu’aujourd’hui la question centrale qui préoccupe les enseignants est la question de l’alignement de l’indemnité logement pour la justice et l’équité.
Après la publication du pré-rapport sur l’étude sur le système de rémunération des agents de l’Etat, dénonce-t-il, les enseignants exigent que les injustices soient corrigées. « Et, sur cette question le Premier ministre a convoqué une rencontre vendredi prochain. Mais nous lui avons dit que la question qui peut résoudre la situation, c’est la question de l’indemnité de logement et la carrière des enseignants », a-t-il laissé entendre sur la Rfm
Autres articles
-
Kolda : les sept lycéens de Ndorma placés sous mandat de dépôt
-
Fête de Toussaint : Abbé Marcel Keita appelle les acteurs politiques à bannir la violence pendant la campagne électorale
-
Partie du Sénégal le 21 octobre, la pirogue en perdition arrive à Nouakchott avec 28 morts et 37 survivants dans un état critique
-
Le Sénégal et la Türkiye renforcent leurs liens économiques lors du Forum d’Investissement à Istanbul
-
USA : Un Sénégalais arrêté pour avoir embrassé un chauffeur et tenté de voler son bus