«Le Hip Hop et l’immigration irrégulière» étaient à l’honneur mardi, lors du premier Salon mondial de la Culture. En effet, ce thème a monopolisé l’attention de ces artistes venus de 15 pays différents dont la Belgique, la France le Canada.
Cet évènement organisé en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a permis à son représentant d’attirer l’attention sur la nécessité que les Etats prennent leurs responsabilités car, l’OIM ne pouvait le faire à leur place.
Pour Ivan Bon, «on ne pouvait pas juste se contenter de dire que les migrations irrégulières, c’est dangereux et que les jeunes prennent des risques. C’est juste de voir ce qu’il faut comme alternative pour effectivement changer de mentalité par rapport à l’immigration», dit-il. Et, ajoute-t-il, «ce que l’on peut faire, c’est les accompagner pour l’élaboration des politiques migratoires».
Diagnostiquant les causes des tentatives de rallier l’Europe où l’Amérique, M. Bon assure que la forte pression sociale exercée sur les jeunes, dans les zones de Guédiawaye, Kayar, entre autres expliquent en grande partie les risques prises par les adeptes de ces voyages pleins de risques.
Les artistes qui comptent se mettre en première ligne pour sensibiliser les jeunes, appellent ces derniers à prendre pour exemple «Matador» qui, de retour de Belgique en 2006, a lancé Afrique culture urbaine (ACU).
«Matador aujourd’hui a inspiré beaucoup d’autres organisations. Il est un modèle alternatif. Qui répond à cette question-là ». Pour dire que le Hip Hop est effectivement un moyen pour sensibiliser, et mobiliser ces jeunes afin qu’ils restent chez eux», a lancé Malal Talla alias «Fou Malade»
Cet évènement organisé en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a permis à son représentant d’attirer l’attention sur la nécessité que les Etats prennent leurs responsabilités car, l’OIM ne pouvait le faire à leur place.
Pour Ivan Bon, «on ne pouvait pas juste se contenter de dire que les migrations irrégulières, c’est dangereux et que les jeunes prennent des risques. C’est juste de voir ce qu’il faut comme alternative pour effectivement changer de mentalité par rapport à l’immigration», dit-il. Et, ajoute-t-il, «ce que l’on peut faire, c’est les accompagner pour l’élaboration des politiques migratoires».
Diagnostiquant les causes des tentatives de rallier l’Europe où l’Amérique, M. Bon assure que la forte pression sociale exercée sur les jeunes, dans les zones de Guédiawaye, Kayar, entre autres expliquent en grande partie les risques prises par les adeptes de ces voyages pleins de risques.
Les artistes qui comptent se mettre en première ligne pour sensibiliser les jeunes, appellent ces derniers à prendre pour exemple «Matador» qui, de retour de Belgique en 2006, a lancé Afrique culture urbaine (ACU).
«Matador aujourd’hui a inspiré beaucoup d’autres organisations. Il est un modèle alternatif. Qui répond à cette question-là ». Pour dire que le Hip Hop est effectivement un moyen pour sensibiliser, et mobiliser ces jeunes afin qu’ils restent chez eux», a lancé Malal Talla alias «Fou Malade»
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