Le statisticien et économiste, Moubarack Lô, a indiqué que la majorité au parti démocratique sénégalais (PDS) n’est pas constituée de transhumants. «Les transhumants ne constituent pas la majorité au PDS», a souligné Moubarack Lô qui était l'un des invités, ce dimanche de l'émission Remue-ménage de la Rfm.
«Le PDS est constitué de trois pôles : il y a le pole des anciens du PDS qui ont combattu dans les années de braise ; deuxièmement, il y a des jeunes de 25 ans et autres, qui ont suivi Wade par sympathie et troisièmement il y a les transhumants qui ne sont pas souvent suivis par leurs militants», a détaillé le statisticien.
«Avec cette cartographie, je ne suis pas sûr que les transhumants sont plus nombreux au PDS. C’est pourquoi, il demande de savoir raison gardée», a-t-il laissé entendre.
Toutefois, il a indiqué que les différents départs peuvent avoir des conséquences négations au PDS. Abdoulaye a Wade a eu 57% en 2007 mais avec le départ de Macky Sall et de Aminata Tall, c’est impossible d’avoir ces mêmes résultats», a noté M. Lô.
Selon lui, le positionnement actuel de cette formation politique n’est pas claire. «Aujourd’hui, le positionnement du PDS n’est pas clair. Dès lors qu’il y a des gens qui partent et d’autres qui viennent, il n’y a plus de noyau», a justifié l’économiste et statisticien, par ailleurs conseiller municipale à Louga.
«Le PDS est constitué de trois pôles : il y a le pole des anciens du PDS qui ont combattu dans les années de braise ; deuxièmement, il y a des jeunes de 25 ans et autres, qui ont suivi Wade par sympathie et troisièmement il y a les transhumants qui ne sont pas souvent suivis par leurs militants», a détaillé le statisticien.
«Avec cette cartographie, je ne suis pas sûr que les transhumants sont plus nombreux au PDS. C’est pourquoi, il demande de savoir raison gardée», a-t-il laissé entendre.
Toutefois, il a indiqué que les différents départs peuvent avoir des conséquences négations au PDS. Abdoulaye a Wade a eu 57% en 2007 mais avec le départ de Macky Sall et de Aminata Tall, c’est impossible d’avoir ces mêmes résultats», a noté M. Lô.
Selon lui, le positionnement actuel de cette formation politique n’est pas claire. «Aujourd’hui, le positionnement du PDS n’est pas clair. Dès lors qu’il y a des gens qui partent et d’autres qui viennent, il n’y a plus de noyau», a justifié l’économiste et statisticien, par ailleurs conseiller municipale à Louga.
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