La situation est loin de s’apaiser. Le mouvement d’humeur est lancé depuis avant-hier mardi. Manifestant leur colère, ils ont même barré des routes. Ses employés exigent le paiement de trois (3) mois d’arriérés de salaires. Ils n’entendent pas baisser les bras tant qu’ils ne rentreront pas dans leurs fonds. Eux, ce sont les travailleurs des collectivités locales qui ont par ailleurs déposé un nouveau préavis de grève. Il s’agit pour eux, de « paralyser l’ensemble de la production au niveau des collectivités locales.
Et ce sont les populations qui vont souffrir », menace Sidiya Ndiaye non moins président de l’intersyndicale de ces travailleurs. Ce dernier parle de lenteurs administratives inacceptables. Pire, «il y a des choses sur lesquelles, on ne peut pas jouer », scande-t-il. « Un arrêt de travail qui va s’amplifier », foi des syndicalistes qui exigent des négociations sérieuses. Interpellé sur la question, la tutelle, Omar Youm accuse les « exécutifs locaux ». L’Etat a fait tout ce qu’il devait faire à travers la mise en œuvre de l’acte 3 de la décentralisation qui vise la sécurisation des salaires, la sauvegarde des emplois et le paiement des salaires, assène le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, Porte-Parole du Gouvernement qui indique que cela incombe aux exécutifs locaux.
Ce, depuis les élections locales du 29 juin 2014. «C’est une délégation de pouvoir que nous leur avons fait », précise la tutelle qui menace: «L’Etat prendra ses responsabilités pour apporter les correctifs qu’il faut ».
Ça promet.
Et ce sont les populations qui vont souffrir », menace Sidiya Ndiaye non moins président de l’intersyndicale de ces travailleurs. Ce dernier parle de lenteurs administratives inacceptables. Pire, «il y a des choses sur lesquelles, on ne peut pas jouer », scande-t-il. « Un arrêt de travail qui va s’amplifier », foi des syndicalistes qui exigent des négociations sérieuses. Interpellé sur la question, la tutelle, Omar Youm accuse les « exécutifs locaux ». L’Etat a fait tout ce qu’il devait faire à travers la mise en œuvre de l’acte 3 de la décentralisation qui vise la sécurisation des salaires, la sauvegarde des emplois et le paiement des salaires, assène le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, Porte-Parole du Gouvernement qui indique que cela incombe aux exécutifs locaux.
Ce, depuis les élections locales du 29 juin 2014. «C’est une délégation de pouvoir que nous leur avons fait », précise la tutelle qui menace: «L’Etat prendra ses responsabilités pour apporter les correctifs qu’il faut ».
Ça promet.
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