Modèle de boîte noire intégrée dans les avions.
Dans un premier temps, les recherches se sont déroulées plus près du littoral, et progressivement, trois jours après l’accident, les navires ont étendu leur zone de ratissage. Deux navires allemands de la FINUL, la force des Nations unies au Liban, un navire américain, et un bateau d’une compagnie privée venu de Chypre, lui aussi équipé de sonars, participent à ces recherches.
Juste après le décollage l’avion a changé de direction, et le pilote n’a pas suivi les instructions qui lui avait été communiquées depuis la tour de contrôle. Il y avait alors un très violent orage. L’appareil est peut-être entré dans un cumulonimbus. Il a aussi pu être déstabilisé par de fortes turbulences de vent et tout cela a pu se conjuguer avec un problème technique, une défaillance hydraulique ou de moteur qui pourraient expliquer pourquoi le pilote n’a pas suivi les instructions de la tour de contrôle.
La compagnie Ethiopian Airlines a précisé que le pilote de cet avion était très expérimenté. Il avait vingt ans d’expérience. On attend donc de récupérer les boîtes noires afin d’obtenir des informations sur une éventuelle défaillance de l’appareil, qui pourrait expliquer ce changement de trajectoire. Localisés à 10 km à l’ouest de l’aéroport de Beyrouth, les deux enregistreurs de vols reposent par 1.300 mètres de profondeur, ce qui les rend difficilement accessibles.
Deux experts français du bureau Enquêtes et Accidents de l’aviation civile et trois experts américains du Conseil national de la sécurité des transports sont arrivés au Liban pour épauler les enquêteurs libanais .
Juste après le décollage l’avion a changé de direction, et le pilote n’a pas suivi les instructions qui lui avait été communiquées depuis la tour de contrôle. Il y avait alors un très violent orage. L’appareil est peut-être entré dans un cumulonimbus. Il a aussi pu être déstabilisé par de fortes turbulences de vent et tout cela a pu se conjuguer avec un problème technique, une défaillance hydraulique ou de moteur qui pourraient expliquer pourquoi le pilote n’a pas suivi les instructions de la tour de contrôle.
La compagnie Ethiopian Airlines a précisé que le pilote de cet avion était très expérimenté. Il avait vingt ans d’expérience. On attend donc de récupérer les boîtes noires afin d’obtenir des informations sur une éventuelle défaillance de l’appareil, qui pourrait expliquer ce changement de trajectoire. Localisés à 10 km à l’ouest de l’aéroport de Beyrouth, les deux enregistreurs de vols reposent par 1.300 mètres de profondeur, ce qui les rend difficilement accessibles.
Deux experts français du bureau Enquêtes et Accidents de l’aviation civile et trois experts américains du Conseil national de la sécurité des transports sont arrivés au Liban pour épauler les enquêteurs libanais .
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