Amy Guèye a été trainée en justice par sa tante paternelle pour collecte et diffusions d’images à caractères pornographiques et atteintes aux bonnes mœurs. Jugée mercredi par le tribunal correctionnel de Louga, elle a été condamnée à un mois ferme.
Appelée à la barre, la prévenue a expliqué les raisons qui l’ont poussée à diffuser les vidéos obscènes de sa tante qu’elle accuse d’entretenir une relation amoureuse avec son mari. « B.G est ma tante paternelle, mais elle est tombée amoureuse de mon mari. Bien qu’étant mariée, elle sortait avec mon époux au vu et au su de tout le village », a-t-elle déclaré.
Soulignant qu’ « elles se sont battues à plusieurs reprises, mais elle continue toujours de fréquenter mon mari. Ils se retrouvaient souvent la brousse pour passer du bon temps ensemble ».
Sur les vidéos obscènes, Amy Guèye avoue avoir envoyé ses vidéos à son père afin qu’il sache que « je n’accuserais pas à tort sa petite sœur ».
Pour se défendre, la partie civile a nié toute relation coupable avec le mari de sa nièce. « Amy c’est ma nièce, je n’ose pas sortir avec son mari, car je suis une femme mariée. Elle a volé mon téléphone portable pour ensuite prendre mes images qui étaient destinées exclusivement à mon époux vivant à Dakar », a-t-elle expliqué.
Interrogé, le mari de la prévenue a fait de graves révélations. Dans sa déclaration qui a choqué le tribunal, il a fait savoir qu’effectivement sa femme a trouvé les vidéos dans son téléphone et que c’est la partie civile qui les lui avait envoyées.
Appelée à la barre, la prévenue a expliqué les raisons qui l’ont poussée à diffuser les vidéos obscènes de sa tante qu’elle accuse d’entretenir une relation amoureuse avec son mari. « B.G est ma tante paternelle, mais elle est tombée amoureuse de mon mari. Bien qu’étant mariée, elle sortait avec mon époux au vu et au su de tout le village », a-t-elle déclaré.
Soulignant qu’ « elles se sont battues à plusieurs reprises, mais elle continue toujours de fréquenter mon mari. Ils se retrouvaient souvent la brousse pour passer du bon temps ensemble ».
Sur les vidéos obscènes, Amy Guèye avoue avoir envoyé ses vidéos à son père afin qu’il sache que « je n’accuserais pas à tort sa petite sœur ».
Pour se défendre, la partie civile a nié toute relation coupable avec le mari de sa nièce. « Amy c’est ma nièce, je n’ose pas sortir avec son mari, car je suis une femme mariée. Elle a volé mon téléphone portable pour ensuite prendre mes images qui étaient destinées exclusivement à mon époux vivant à Dakar », a-t-elle expliqué.
Interrogé, le mari de la prévenue a fait de graves révélations. Dans sa déclaration qui a choqué le tribunal, il a fait savoir qu’effectivement sa femme a trouvé les vidéos dans son téléphone et que c’est la partie civile qui les lui avait envoyées.
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