«Pour dissuader les éventuels malfaiteurs» et «venir à bout de la criminalité rampante au Sénégal», selon les propres termes de l’Adjudant Henry Ciss, la police nationale a pris une batterie de mesures.
«Le premier point, il s’agit d’une généralisation des caméras de surveillance à travers Dakar», sert le Chef du Bureau des relations publiques de la police nationale.
«On va peut-être suivre la marche du monde comme à Paris et dans d’autres capitales. Notre capitale va se doter des caméras de surveillance dans une étendue beaucoup plus large, cela peut être pourra dissuader les éventuels malfaiteurs», explique-t-il.
«Pour toujours venir à bout de cette criminalité rampante», poursuit-il avant d’aborder «le phénomène des moto-Jakarta ou bien des scooters». A ce propos, assure Henry Ciss: «Des instructions ont été données pour une immatriculation systématique des véhicules à deux (2) roues quelle que soit leur cylindrée parce que en fait d’après la législation, il était dit que «c’étaient les motos de 125 cm3 qu’on considérait comme pouvait faire l’objet d’immatriculation». On s’est rendu compte que plusieurs scooters de moindre cylindre avaient été utilisés lors des braquages et autres crimes».
L’autorité s’étant penchée sur la question avec les experts et «il a été convenu que maintenant, l’immatriculation de ces engins sera systématique».
La police a arrêté plus de dix (10) personnes impliquées dans plusieurs délits: l’agression mortelle de l’étudiant Marocain, le braquage de la Station ODK oil de Thiès, des agences de Wari.
«Le premier point, il s’agit d’une généralisation des caméras de surveillance à travers Dakar», sert le Chef du Bureau des relations publiques de la police nationale.
«On va peut-être suivre la marche du monde comme à Paris et dans d’autres capitales. Notre capitale va se doter des caméras de surveillance dans une étendue beaucoup plus large, cela peut être pourra dissuader les éventuels malfaiteurs», explique-t-il.
«Pour toujours venir à bout de cette criminalité rampante», poursuit-il avant d’aborder «le phénomène des moto-Jakarta ou bien des scooters». A ce propos, assure Henry Ciss: «Des instructions ont été données pour une immatriculation systématique des véhicules à deux (2) roues quelle que soit leur cylindrée parce que en fait d’après la législation, il était dit que «c’étaient les motos de 125 cm3 qu’on considérait comme pouvait faire l’objet d’immatriculation». On s’est rendu compte que plusieurs scooters de moindre cylindre avaient été utilisés lors des braquages et autres crimes».
L’autorité s’étant penchée sur la question avec les experts et «il a été convenu que maintenant, l’immatriculation de ces engins sera systématique».
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