Dans son adresse à la Nation, Macky Sall a appelé les Sénégalais à mettre fin aux violences faites aux femmes et aux filles et à mieux protéger les enfants, ajoutant qu’elles sont nos mères, nos épouses et nos enfants.
« Les femmes, les filles, sont nos mères, nos épouses, nos enfants. Elles constituent l’autre moitié sans laquelle notre tissu social est incomplet et méconnaissable. Dès lors, violenter une femme, violenter un enfant, c’est froisser et abîmer notre tissu social », a dit M. Sall.
« Nous devons mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles, et mieux protéger l’enfance, a-t-il ajouté. Pour lui, « la protection de la condition féminine et de l’enfance reste un défi de notre temps ».
Lundi, l’Assemblée nationale du Sénégal a voté à l’unanimité et par acclamation le projet de loi criminalisant les actes de viol et de pédophilie, défendu par le ministre de la Justice, Me Malick Sall.
Ce projet de loi avait d’abord été adopté en Conseil des ministres le 27 novembre dernier. Il s’agit d’une loi modifiant celle du 21 juillet 1965, portant sur le Code pénal, relative notamment aux chapitres visant à durcir la répression du viol et de la pédophilie avec des peines pouvant aller jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité.
Jusque-là, le viol était considéré comme un délit, passible de cinq à dix ans de prison
« Les femmes, les filles, sont nos mères, nos épouses, nos enfants. Elles constituent l’autre moitié sans laquelle notre tissu social est incomplet et méconnaissable. Dès lors, violenter une femme, violenter un enfant, c’est froisser et abîmer notre tissu social », a dit M. Sall.
« Nous devons mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles, et mieux protéger l’enfance, a-t-il ajouté. Pour lui, « la protection de la condition féminine et de l’enfance reste un défi de notre temps ».
Lundi, l’Assemblée nationale du Sénégal a voté à l’unanimité et par acclamation le projet de loi criminalisant les actes de viol et de pédophilie, défendu par le ministre de la Justice, Me Malick Sall.
Ce projet de loi avait d’abord été adopté en Conseil des ministres le 27 novembre dernier. Il s’agit d’une loi modifiant celle du 21 juillet 1965, portant sur le Code pénal, relative notamment aux chapitres visant à durcir la répression du viol et de la pédophilie avec des peines pouvant aller jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité.
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