Le Sénégal a accueilli pour la première fois en terre africaine le Forum Galien à Dakar le 27 et 28 novembre 2018. Un événement scientifique placé sous la Présidence effective du président de la République Macky Sall avec la participation de plus de 300 personnalités de la médecine et des autorités étatiques. Cette rencontre internationale a été l’occasion de décerner le Prix Galien.
Le Chef de l’Etat Macky Sall a rappelé que « Galien, fut un prestigieux médecin de l’antiquité, qui a abondamment voyagé et pratiqué des soins, y compris dans des cours royales. Qui, à l’image d’Hippocrate, quelques siècles auparavant, est l’un des précurseurs de la médecine moderne ».
Selon le président Sall, « le Forum Galien offre également une plateforme d’échanges scientifiques de haut niveau sur des questions d’intérêt commun liées à la santé. L’événement est aussi historique, parce que c’est la première fois que ce forum se tient en Afrique depuis son lancement en 2009 à New-York ».
Poursuivant son discours, il ajoute : « À travers, les âges, la santé a toujours été un souci permanent des sociétés humaines. Ce souci est encore plus manifeste en ces temps où, par l’accroissement considérable du volume et de la vitesse des échanges, les maladies se transportent et se transmettent d’un point à un autre du globe en seulement quelques heures ».
Pour lui, « de tout temps, c’est le savoir qui détermine le progrès de la science. C’est le savoir qui démarque les Nations qui avancent de celles qui stagnent. Et c’est le savoir qui valorise le capital humain. C’est pourquoi le savoir et le capital humain sont au cœur du Plan Sénégal Emergent, dans son AXE II. Nous voulons former des ressources humaines de qualité, lutter contre les inégalités sociales et territoriales, et offrir à nos populations un meilleur accès aux soins ».
Aux yeux du chef de l’Etat, « si les questions de santé publique continuent encore de se poser avec acuité dans les pays africains, il faut, en même temps, rappeler que l’Afrique n’est ni un désert médical, ni un no man’s land scientifique ».
Toutefois précise t-il, « de plus, j’ai engagé un programme élargi de construction et d’équipement de cent laboratoires et de mise en place de plateformes mutualisées d’équipements en microscopie électronique, biotechnologie, génétique moléculaire, calcul scientifique et modélisation. Certaines de ces infrastructures sont en cours de réalisation ici même, dans la Cité du savoir de la nouvelle ville de Diamniadio. Et mon ambition est de faire encore beaucoup plus pour stimuler le progrès de la science et de la technologie au Sénégal ».
Le Chef de l’Etat Macky Sall a rappelé que « Galien, fut un prestigieux médecin de l’antiquité, qui a abondamment voyagé et pratiqué des soins, y compris dans des cours royales. Qui, à l’image d’Hippocrate, quelques siècles auparavant, est l’un des précurseurs de la médecine moderne ».
Selon le président Sall, « le Forum Galien offre également une plateforme d’échanges scientifiques de haut niveau sur des questions d’intérêt commun liées à la santé. L’événement est aussi historique, parce que c’est la première fois que ce forum se tient en Afrique depuis son lancement en 2009 à New-York ».
Poursuivant son discours, il ajoute : « À travers, les âges, la santé a toujours été un souci permanent des sociétés humaines. Ce souci est encore plus manifeste en ces temps où, par l’accroissement considérable du volume et de la vitesse des échanges, les maladies se transportent et se transmettent d’un point à un autre du globe en seulement quelques heures ».
Pour lui, « de tout temps, c’est le savoir qui détermine le progrès de la science. C’est le savoir qui démarque les Nations qui avancent de celles qui stagnent. Et c’est le savoir qui valorise le capital humain. C’est pourquoi le savoir et le capital humain sont au cœur du Plan Sénégal Emergent, dans son AXE II. Nous voulons former des ressources humaines de qualité, lutter contre les inégalités sociales et territoriales, et offrir à nos populations un meilleur accès aux soins ».
Aux yeux du chef de l’Etat, « si les questions de santé publique continuent encore de se poser avec acuité dans les pays africains, il faut, en même temps, rappeler que l’Afrique n’est ni un désert médical, ni un no man’s land scientifique ».
Toutefois précise t-il, « de plus, j’ai engagé un programme élargi de construction et d’équipement de cent laboratoires et de mise en place de plateformes mutualisées d’équipements en microscopie électronique, biotechnologie, génétique moléculaire, calcul scientifique et modélisation. Certaines de ces infrastructures sont en cours de réalisation ici même, dans la Cité du savoir de la nouvelle ville de Diamniadio. Et mon ambition est de faire encore beaucoup plus pour stimuler le progrès de la science et de la technologie au Sénégal ».
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