En réponse aux députés de l’opposition qui estiment que la suppression du poste de Premier ministre va rendre le chef de l’Etat hyperpuissant, le ministre de la Justice Me Malick Sall a affirmé à l’Assemblée nationale que Macky Sall n’est pas pouvoiriste.
« Je pense que si vous êtes de bonne foi, vous saurez que le président n'est pas un pouvoiriste, parce qu'il a ramène son mandat de 7 à 5 ans, a dit Me Sall, déplorant la situation à l’hémicycle en ces termes : ce qui se passe ici, nous sommes dans la limite du raisonnable contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays ».
« Je note qu'il 4 ou 5 catégories d'intervenions. Des intervenants qui n'ont pas lu le projet de loi parce qu'ils ne savent pas lire. Les victimes du 24 février qui n'ont pas encore digéré leur amertume je ne peux que leur dire "massa" », se moque-t-il.
Selon le Garde des Sceaux, faisant allusion au député Mamadou Lamine Diallo, affirme que celui qui parle de rupture d'égalité n'est pas juriste. « La loi parle de ministre pas de directeur. Il y'a pas de rupture parce que les deux ne sont les mêmes ».
Cette décision de supprimer le poste de Premier ministre est « administrative et fonctionnelle. Et le poste n'est pas une institution. Donc dire que le fait de supprimer ce poste donne plus de pouvoir au président, ce n’est pas le cas ».
« Je pense que si vous êtes de bonne foi, vous saurez que le président n'est pas un pouvoiriste, parce qu'il a ramène son mandat de 7 à 5 ans, a dit Me Sall, déplorant la situation à l’hémicycle en ces termes : ce qui se passe ici, nous sommes dans la limite du raisonnable contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays ».
« Je note qu'il 4 ou 5 catégories d'intervenions. Des intervenants qui n'ont pas lu le projet de loi parce qu'ils ne savent pas lire. Les victimes du 24 février qui n'ont pas encore digéré leur amertume je ne peux que leur dire "massa" », se moque-t-il.
Selon le Garde des Sceaux, faisant allusion au député Mamadou Lamine Diallo, affirme que celui qui parle de rupture d'égalité n'est pas juriste. « La loi parle de ministre pas de directeur. Il y'a pas de rupture parce que les deux ne sont les mêmes ».
Cette décision de supprimer le poste de Premier ministre est « administrative et fonctionnelle. Et le poste n'est pas une institution. Donc dire que le fait de supprimer ce poste donne plus de pouvoir au président, ce n’est pas le cas ».
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