La Société africaine de raffinage (SAR) "ne va pas disparaître", a assuré mardi le président Macky Sall, assurant que le gouvernement surveille de près ce qui se passe au sein de cette entreprise.
"La SAR est dans une zone stratégique. Nous avons acquis le métier de raffinage depuis 1963. Par la grâce de Dieu, nous avons du gaz et du pétrole, ce n'est pas le moment pour faire disparaitre la SAR", a-t-il déclaré.
Le président Sall répondait aux interpellations de certains leaders syndicaux, lors de la cérémonie solennelle de remise des cahiers de doléances des travailleurs.
"Il n'y a pas de repreneur. Il y a un nouvel actionnaire à hauteur de 34 %, Locafrique, qui a racheté les parts de Saudi Ben Laden Group. L'État reste majoritaire au moment où je vous parle avec 46%, avec Total, Sara énergie et ITOC (...)", a précisé le président Sall.
"Si ce n'était pas le soutien de l'État, la SAR ne pourrait pas un jour fonctionner", a expliqué Macky Sall, ajoutant que l'État a mis en place "une marge de soutien" pour les activités raffinage de la société.
Si ce soutien de l'État venait à disparaître, la SAR SAR disparaitrait avec ses employés, a prévenu le président de la République, en appelant aux acteurs concernés de "revenir à la raison pour rendre la SAR performante".
Le président de la République affirme que l'État surveille ce qui se passe à la SAR, avant de rappeler les récents changements opérés au sein de la société avec la nomination d'un nouveau directeur général et d'un président du conseil d'administration.
De cette manière, il dit espérer que la SAR deviendra "un outil moderne" capable de raffiner le pétrole et le gaz sénégalais à l'horizon 2021.
"La SAR est dans une zone stratégique. Nous avons acquis le métier de raffinage depuis 1963. Par la grâce de Dieu, nous avons du gaz et du pétrole, ce n'est pas le moment pour faire disparaitre la SAR", a-t-il déclaré.
Le président Sall répondait aux interpellations de certains leaders syndicaux, lors de la cérémonie solennelle de remise des cahiers de doléances des travailleurs.
"Il n'y a pas de repreneur. Il y a un nouvel actionnaire à hauteur de 34 %, Locafrique, qui a racheté les parts de Saudi Ben Laden Group. L'État reste majoritaire au moment où je vous parle avec 46%, avec Total, Sara énergie et ITOC (...)", a précisé le président Sall.
"Si ce n'était pas le soutien de l'État, la SAR ne pourrait pas un jour fonctionner", a expliqué Macky Sall, ajoutant que l'État a mis en place "une marge de soutien" pour les activités raffinage de la société.
Si ce soutien de l'État venait à disparaître, la SAR SAR disparaitrait avec ses employés, a prévenu le président de la République, en appelant aux acteurs concernés de "revenir à la raison pour rendre la SAR performante".
Le président de la République affirme que l'État surveille ce qui se passe à la SAR, avant de rappeler les récents changements opérés au sein de la société avec la nomination d'un nouveau directeur général et d'un président du conseil d'administration.
De cette manière, il dit espérer que la SAR deviendra "un outil moderne" capable de raffiner le pétrole et le gaz sénégalais à l'horizon 2021.
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