Mamadou Saliou Diallo est un enfant de l’école coranique. Il était un vendeur ambulant avant de travailler dans une petite fabrique de montage à la chaîne. Il explique qu’il n’a jamais bénéficié de la moindre formation professionnelle mais qu’il avait été frappé par l’épidémie de choléra qui a touché Touba en 2004.
D’où cette idée d’inventer un lave-mains très utile dans les cérémonies et les grands événements. " Il y a quatre robinets", détaille Mamadou Saliou Diallo. "Tu appuies d’un seul doigt, l’eau coule. Tu te laves les mains, l’eau coule dans le réservoir d’eaux sales en bas. Maintenant tu appuies de l’autre côté, et ça s'arrête. C’est très facile, très économique en eau, très mobile parce que ce n’est pas lourd" explique le concepteur.
Ce lave-mains, Mamadou Saliou Diallo l’avait inventé il y a 7 ans. Il a même été primé en 2010 mais le prototype dormait dans un coin. Aujourd’hui l’inventeur rêve de passer à la phase d’industrialisation : « Il n’y a pas qu'Ebola. Il y a d’autres maladies contagieuses : choléra, maladies des yeux, grippe. Il faut toujours se laver les mains, proprement. » Mamadou Saliou Diallo travaille désormais sur une version en plastique avec un système d’écoulement d’eau automatique. Il recherche des financements.
D’où cette idée d’inventer un lave-mains très utile dans les cérémonies et les grands événements. " Il y a quatre robinets", détaille Mamadou Saliou Diallo. "Tu appuies d’un seul doigt, l’eau coule. Tu te laves les mains, l’eau coule dans le réservoir d’eaux sales en bas. Maintenant tu appuies de l’autre côté, et ça s'arrête. C’est très facile, très économique en eau, très mobile parce que ce n’est pas lourd" explique le concepteur.
Ce lave-mains, Mamadou Saliou Diallo l’avait inventé il y a 7 ans. Il a même été primé en 2010 mais le prototype dormait dans un coin. Aujourd’hui l’inventeur rêve de passer à la phase d’industrialisation : « Il n’y a pas qu'Ebola. Il y a d’autres maladies contagieuses : choléra, maladies des yeux, grippe. Il faut toujours se laver les mains, proprement. » Mamadou Saliou Diallo travaille désormais sur une version en plastique avec un système d’écoulement d’eau automatique. Il recherche des financements.
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