« Un maire fantôme aux projets virtuels »
Malgré les promesses du maire Abdou Karim Sall, visionnaire à la vue basse, qui lui ont valu la confiance des populations de Mbao, quelques gouttes d’eau ont suffit, fin août, pour que les habitants se retrouvent les pieds dans l’eau.
Au plus grand agacement de dizaines de milliers d’habitants, le scénario est devenu récurent. Malgré les engagements électoraux du maire d’en faire un mauvais souvenir, la population de Mbao se retrouve, à nouveau, à la merci des eaux pluviales.
Vivant les pieds dans les eaux, meurtris, désemparés, plusieurs quartiers de Mbao dont Petit Mbao, Grand Mbao, Holding, Baobab, Enseignant, Enda Pia, Cité Administration Pénitentiaire, Keur Mbaye FALL,Tally carreaux, Kamb, Cité Saba, Darou Salam, Mbao Concorde, Kossy Baye, Terminus, Arrêt Gadiaga, Cité satar, Cité Mobile et celui abritant la mairie, notamment, peinent à s’en dégager.
La mobilité est devenue très réduite, quelques fois quasi-impossible, sur l'ensemble des cités de la zac de Mbao.
Comme dit l’adage : «On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».
Grotesque, dérisoire ou ridicule ?
L’attitude du maire de Mbao face aux difficultés de la commune liées aux eaux pluviales, mérite à coup sûr chacune de ces épithètes.
Non contents de la gestion calamiteuse de la municipalité de Mbao, Abdou Karim Sall et ses propagandistes, très rompus aux techniques de désinformation, versent dans la manipulation de masse.
Dans des audios pittoresques et images qui circulent sur les réseaux sociaux, quoique fourbus et perdus, Abddou Karim Sall et sa bande tentent de faire bonne figure et soutiennent que les fruits ont répondu à la promesse des fleurs, pendant que la quasi-totalités des quartiers de Mbao vivent le calvaire.
Une situation qui n’est rien d’autre que le résultat d’une mauvaise gestion et maire abonné absent.
Depuis son élection à la tête de la maire, Abdou Karim remporte le graal des maires fantômes. Une situation dûe à un cumul de fonction dont il fait l’objet en violation de l’article 239, stipulant : « La qualité de Directeur général est incompatible avec quelque autre fonction rémunérée
ou non, tout mandat électif national ou local, toute fonction gouvernementale ainsi que toute détention directe ou indirecte d'intérêts dans une ou plusieurs entreprises des secteurs régulés. Le Directeur général ne peut pas avoir une relation commerciale avec l'Autorité de régulation ».
La marie de Mbao constitue, aujourd’hui, un cas d’école en termes de mauvaise gestion, de népotisme, de clientélisme et d’échec cuisant de la politique conduite par l’actuel maire de par ses choix et inefficacité de ses politiques.
Par Khadim Bamba Tall
Conseiller municipal à Mbao, cercle des cadres de la République des valeurs (CECAR)
Au plus grand agacement de dizaines de milliers d’habitants, le scénario est devenu récurent. Malgré les engagements électoraux du maire d’en faire un mauvais souvenir, la population de Mbao se retrouve, à nouveau, à la merci des eaux pluviales.
Vivant les pieds dans les eaux, meurtris, désemparés, plusieurs quartiers de Mbao dont Petit Mbao, Grand Mbao, Holding, Baobab, Enseignant, Enda Pia, Cité Administration Pénitentiaire, Keur Mbaye FALL,Tally carreaux, Kamb, Cité Saba, Darou Salam, Mbao Concorde, Kossy Baye, Terminus, Arrêt Gadiaga, Cité satar, Cité Mobile et celui abritant la mairie, notamment, peinent à s’en dégager.
La mobilité est devenue très réduite, quelques fois quasi-impossible, sur l'ensemble des cités de la zac de Mbao.
Comme dit l’adage : «On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».
Grotesque, dérisoire ou ridicule ?
L’attitude du maire de Mbao face aux difficultés de la commune liées aux eaux pluviales, mérite à coup sûr chacune de ces épithètes.
Non contents de la gestion calamiteuse de la municipalité de Mbao, Abdou Karim Sall et ses propagandistes, très rompus aux techniques de désinformation, versent dans la manipulation de masse.
Dans des audios pittoresques et images qui circulent sur les réseaux sociaux, quoique fourbus et perdus, Abddou Karim Sall et sa bande tentent de faire bonne figure et soutiennent que les fruits ont répondu à la promesse des fleurs, pendant que la quasi-totalités des quartiers de Mbao vivent le calvaire.
Une situation qui n’est rien d’autre que le résultat d’une mauvaise gestion et maire abonné absent.
Depuis son élection à la tête de la maire, Abdou Karim remporte le graal des maires fantômes. Une situation dûe à un cumul de fonction dont il fait l’objet en violation de l’article 239, stipulant : « La qualité de Directeur général est incompatible avec quelque autre fonction rémunérée
ou non, tout mandat électif national ou local, toute fonction gouvernementale ainsi que toute détention directe ou indirecte d'intérêts dans une ou plusieurs entreprises des secteurs régulés. Le Directeur général ne peut pas avoir une relation commerciale avec l'Autorité de régulation ».
La marie de Mbao constitue, aujourd’hui, un cas d’école en termes de mauvaise gestion, de népotisme, de clientélisme et d’échec cuisant de la politique conduite par l’actuel maire de par ses choix et inefficacité de ses politiques.
Par Khadim Bamba Tall
Conseiller municipal à Mbao, cercle des cadres de la République des valeurs (CECAR)
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