Il vient de bénéficier d’une libération provisoire ordonnée par le juge des flagrants délits de Saint-Louis. Il s’explique sur ce que la justice lui reproche. « En ces périodes mouvementé de campagne, en règle générale dans toutes les voitures, on a des gourdins, des battons et autres objets pour se défendre en cas de nécessité. On a été agressé pendant la campagne. Il n’y a pas de mal en ça, qu’on détienne ces objets pour se défendre. C’était juste pour me tenir en hors de la campagne. Ça prouve qu’ils (l’Etat) sont aux abois. On reste tous vigilant pour qu’on en termine une bonne fois pour toute. Ils étaient décidés à marquer un signe fort parce qu’une partie de la justice qui avait commencé à ne plus obéir aux ordres du pouvoir et une autre partie qui est aux ordres. Ça fait parti des incohérences », indique Malick Noël Seck sur les ondes de la radio locale « RFM » quelques heures après sa libération provisoire par le juge des flagrants délits de Saint-Louis.
En ce qui concerne les conditions de détention, il affirme que c’est « inhumain ». « Les conditions de détention étaient anormales, et comme je le disais les conditions de détention des prisonniers au Sénégal sont vraiment inhumaines. En termes de santé et d’hygiène, les détenus sont vraiment en état d’animal. Je crois que cela est inacceptable et il faut que cela ne soit plus seulement qu’une volonté politique mais il faudrait qu’il est des actions concrètes » selon le leader la convergence sociale.
En ce qui concerne les conditions de détention, il affirme que c’est « inhumain ». « Les conditions de détention étaient anormales, et comme je le disais les conditions de détention des prisonniers au Sénégal sont vraiment inhumaines. En termes de santé et d’hygiène, les détenus sont vraiment en état d’animal. Je crois que cela est inacceptable et il faut que cela ne soit plus seulement qu’une volonté politique mais il faudrait qu’il est des actions concrètes » selon le leader la convergence sociale.
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