Le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang a encore parlé. Selon lui, le traitement fait par certains médias de la tuerie de Bofa n'a pour but que la recherche de scoop et pourrait fragiliser les efforts consentis par le gouvernement pour relancer le secteur touristique de la région sud du pays.
Mame Mbaye Ndiaye invite ainsi la presse à dédramatiser la situation qui subsiste en Casamance après le massacre de Bofa. "Il y a eu plus de peur que de mal. Il y a eu certains de vos collègues (Ndlr : journalistes) qui ont interrogé des touristes qui étaient sur place, qui disent qu'ils ne sentent pas les menaces tant relatées (Ndlr : par la presse). Si on donne des informations qu'on ne maîtrise pas, à la recherche de scoop, ça peut impacter sur l'économie nationale", a-t-il averti.
Le patron du tourisme sénégalais est convaincu que la tuerie du 6 janvier dans la forêt de Bofa n'est qu'un acte isolé qui n'a rien à voir avec la lutte pour l'indépendance menée par le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc)... Et n'aura pas d'impact négatif sur les activités touristiques du secteur.
"Je pense que de jour en jour on s'aperçoit que c'était un acte isolé et cet acte ne saurait atténuer les efforts consentis par le Gouvernement. Il y a beaucoup d'investissements que la Casamance attend dans ce secteur et ces activités isolées (le massacre de Bofa) ne peuvent pas impacter", dit-il sur les ondes de la Rfm, avant de préciser que "les alertes qui ont été émis par les pas étrangers ne concernaient pas la région dans son intégralité, mais des zones bien définies où il y a des opérations de sécurisation".
Mame Mbaye Ndiaye invite ainsi la presse à dédramatiser la situation qui subsiste en Casamance après le massacre de Bofa. "Il y a eu plus de peur que de mal. Il y a eu certains de vos collègues (Ndlr : journalistes) qui ont interrogé des touristes qui étaient sur place, qui disent qu'ils ne sentent pas les menaces tant relatées (Ndlr : par la presse). Si on donne des informations qu'on ne maîtrise pas, à la recherche de scoop, ça peut impacter sur l'économie nationale", a-t-il averti.
Le patron du tourisme sénégalais est convaincu que la tuerie du 6 janvier dans la forêt de Bofa n'est qu'un acte isolé qui n'a rien à voir avec la lutte pour l'indépendance menée par le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc)... Et n'aura pas d'impact négatif sur les activités touristiques du secteur.
"Je pense que de jour en jour on s'aperçoit que c'était un acte isolé et cet acte ne saurait atténuer les efforts consentis par le Gouvernement. Il y a beaucoup d'investissements que la Casamance attend dans ce secteur et ces activités isolées (le massacre de Bofa) ne peuvent pas impacter", dit-il sur les ondes de la Rfm, avant de préciser que "les alertes qui ont été émis par les pas étrangers ne concernaient pas la région dans son intégralité, mais des zones bien définies où il y a des opérations de sécurisation".
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