Une chaude matinée lundi, dans les campus universitaires de l’université du Sine Saloum. En effet, les étudiants de l’Université du Sine Saloum El Ibrahima Niass (USSEIN) sont montés au créneau hier dans le cadre de leur grève illimitée décrétée pour exiger entre autres, l’augmentation du budget de l’université, la construction d’infrastructures et la tenue des Masters.
Ils ont organisé une marche dans les campus de Kaolack et de Fatick pour inciter les autorités à résoudre leurs problèmes. Mais il se trouve que les forces de l’ordre « déjà pointées dans le campus de Kaolack les ont repoussés avec des grenades lacrymogènes », confie un étudiant, Lamine Niabaly étudiant en L1 et responsable de la bonne marche pédagogique. Une atteinte au principe de respect des franchises universitaires selon ses camarades qui n’avaient que leurs foulards et brassards rouges à brandir face aux tirs des bombes lacrymogènes.
En tout état de cause, ces étudiants ont insisté sur cette violation des franchises universitaires qui pourraient faire basculer le temple du savoir plus encore dans le chaos. En ce sens que disent-ils, le campus étant un lieu mondé de monde, aucune issue ne s’offre aux étudiants pour esquiver les attaques policières ce qui a mis en danger tous les étudiants s’y trouvant, hommes comme femmes.
De plus, déplore un autre étudiant, « il y’a des gens qui n’ont rien à voir avec cette grève car ils sont dans les chambres et n’ont fait que constater la fumée qui envahissait le campus alors qu’il y a peut-être des étudiants malades ».
Tout compte fait, les forces de l’ordre ont affronté les étudiants et les ont repoussés avec force, ce qui a d’ailleurs occasionné plusieurs blessés et des interpellations de 14 étudiants. A Fatick également même si la bataille a été rude, aucune arrestation n’a été signalée. Cependant, notons que ce bras de fer entre les autorités et les étudiants se poursuit puisque les étudiants disent renouveler leur mot d’ordre de grève illimitée pour tordre la main aux autorités.
Quant aux campus de Fatick et Kaffrine, ils signalent que les chantiers sont en berne et les travaux non encore achevés. De plus, les étudiants de l’Université Sine Saloum estiment se trouver face à un avenir incertain, « car les promesses qu’avaient tenues les autorités n’ont pas été respectées d’où la question des masters »
Ils ont organisé une marche dans les campus de Kaolack et de Fatick pour inciter les autorités à résoudre leurs problèmes. Mais il se trouve que les forces de l’ordre « déjà pointées dans le campus de Kaolack les ont repoussés avec des grenades lacrymogènes », confie un étudiant, Lamine Niabaly étudiant en L1 et responsable de la bonne marche pédagogique. Une atteinte au principe de respect des franchises universitaires selon ses camarades qui n’avaient que leurs foulards et brassards rouges à brandir face aux tirs des bombes lacrymogènes.
En tout état de cause, ces étudiants ont insisté sur cette violation des franchises universitaires qui pourraient faire basculer le temple du savoir plus encore dans le chaos. En ce sens que disent-ils, le campus étant un lieu mondé de monde, aucune issue ne s’offre aux étudiants pour esquiver les attaques policières ce qui a mis en danger tous les étudiants s’y trouvant, hommes comme femmes.
De plus, déplore un autre étudiant, « il y’a des gens qui n’ont rien à voir avec cette grève car ils sont dans les chambres et n’ont fait que constater la fumée qui envahissait le campus alors qu’il y a peut-être des étudiants malades ».
Tout compte fait, les forces de l’ordre ont affronté les étudiants et les ont repoussés avec force, ce qui a d’ailleurs occasionné plusieurs blessés et des interpellations de 14 étudiants. A Fatick également même si la bataille a été rude, aucune arrestation n’a été signalée. Cependant, notons que ce bras de fer entre les autorités et les étudiants se poursuit puisque les étudiants disent renouveler leur mot d’ordre de grève illimitée pour tordre la main aux autorités.
Quant aux campus de Fatick et Kaffrine, ils signalent que les chantiers sont en berne et les travaux non encore achevés. De plus, les étudiants de l’Université Sine Saloum estiment se trouver face à un avenir incertain, « car les promesses qu’avaient tenues les autorités n’ont pas été respectées d’où la question des masters »
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