C’est du reste le sentiment exprimé jeudi dernier lors des journées de réflexions tenues par le Comité inter régional de réflexion et de lutte contre le marché illicite de médicaments (CIRLMIM). La rencontre était à sa seconde édition. Elle mobilisait l’ensemble des pharmaciens des régions de Kaolack, Diourbel, Fatick et Kaffrine.
Elle avait pour thème « évolution et perspective de la lutte contre le marché illicite de médicaments ».Ce sujet qui demeure capital pour l’avenir de la santé publique, l’organisation et la réglementation dans la distribution des produits pharmaceutiques au Sénégal, permettait aux tenants des officines des régions centres de se pencher sur la situation naturelle du combat, mais également pour dresser de nouvelles perspectives plus adéquates afin d’aller à bout de ce fléau.
Certes c’est un combat difficile à mener, mais comme le constatent beaucoup de pharmaciens venus répondre à cette assemblée, tout ressort de la volonté des pouvoirs de ce pays, si l’idée et la volonté d’offrir au peuple sénégalais une santé de qualité rejoignaient la conscience des uns et des autres. Compte tenu de la richesse de ce marché qui, à la limite contrôle une bagatelle de 8 à 10 milliards de francs tous les ans, et le profil des personnes qui s’y activent, les pharmaciens regroupés massivement autour de ces journées de réflexions, pensent que l’Etat se montre encore fébrile pour élaborer les mesures répressives idoines.
Même si en une certaine étape du combat, « Keur Serigne Bi » le lieu d’approvisionnement par excellence de ces produits à risque est fermé, les textes de loi réprimant ces genres de délit public génèrent encore des insuffisances tant au point de vue peines que dans la poursuite des personnes en situation de spéculation de ces dangereux produits. Au Sénégal, l’accessibilité des populations aux médicaments est une problématique à laquelle il est difficile de trouver une solution.
Avec un niveau de pauvreté accrue noté ça et là dans la plupart des concessions de ce pays, les populations d’une manière générale n’ont guère une accessibilité aux produits tirés des pharmacies. Les pharmaciens face à cette situation se sont aussi donnés le courage de faire leur propre autocritique. Ainsi dans leurs nouvelles stratégies et le plan d’actions qu’ils préconisent de dérouler dans l’avenir de leur combat, ils se sont fixés comme priorité la vulgarisation de leur plan de communication afin de permettre à l’ensemble de la population d’avoir un accès facile aux génériques, une catégorie de médicaments ouverte à toutes les bourses.
Elle avait pour thème « évolution et perspective de la lutte contre le marché illicite de médicaments ».Ce sujet qui demeure capital pour l’avenir de la santé publique, l’organisation et la réglementation dans la distribution des produits pharmaceutiques au Sénégal, permettait aux tenants des officines des régions centres de se pencher sur la situation naturelle du combat, mais également pour dresser de nouvelles perspectives plus adéquates afin d’aller à bout de ce fléau.
Certes c’est un combat difficile à mener, mais comme le constatent beaucoup de pharmaciens venus répondre à cette assemblée, tout ressort de la volonté des pouvoirs de ce pays, si l’idée et la volonté d’offrir au peuple sénégalais une santé de qualité rejoignaient la conscience des uns et des autres. Compte tenu de la richesse de ce marché qui, à la limite contrôle une bagatelle de 8 à 10 milliards de francs tous les ans, et le profil des personnes qui s’y activent, les pharmaciens regroupés massivement autour de ces journées de réflexions, pensent que l’Etat se montre encore fébrile pour élaborer les mesures répressives idoines.
Même si en une certaine étape du combat, « Keur Serigne Bi » le lieu d’approvisionnement par excellence de ces produits à risque est fermé, les textes de loi réprimant ces genres de délit public génèrent encore des insuffisances tant au point de vue peines que dans la poursuite des personnes en situation de spéculation de ces dangereux produits. Au Sénégal, l’accessibilité des populations aux médicaments est une problématique à laquelle il est difficile de trouver une solution.
Avec un niveau de pauvreté accrue noté ça et là dans la plupart des concessions de ce pays, les populations d’une manière générale n’ont guère une accessibilité aux produits tirés des pharmacies. Les pharmaciens face à cette situation se sont aussi donnés le courage de faire leur propre autocritique. Ainsi dans leurs nouvelles stratégies et le plan d’actions qu’ils préconisent de dérouler dans l’avenir de leur combat, ils se sont fixés comme priorité la vulgarisation de leur plan de communication afin de permettre à l’ensemble de la population d’avoir un accès facile aux génériques, une catégorie de médicaments ouverte à toutes les bourses.
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