Centre d’Etudes Supérieures en Gestion (CESAG) (photo: ameecod.com)
Le premier Salon de la Banque et de Finance organisé par le programme Master en Banque et Finance (Mbf) du Centre d’études supérieures en gestion (CESAG) a été une occasion pour le Directeur général du CESAG de jeter un regard sur l’avenir de l’Afrique face à la crise financière qui secoue actuellement le monde entier. Mady Koranda a indiqué que «cette crise met à nu la nécessaire maîtrise des instruments financiers par des spécialités africains rompus aux techniques les plus modernes pour mieux comprendre, anticiper et conseiller les dirigeants d’entreprise et des Etats». Ce qui lui fait dire d’ailleurs que le Master en Banque et Finance du CESAG «fruit de la coopération entre la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique, la Banque Centrale des Etats l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et du Centre et la Banque de France, a été crée pour répondre à ce besoin».
Selon lui, cette initiative va contribuer à une meilleure compréhension des sujets d’actualité tels que «la crise financière, la finance islamique, le développement du marché financier régional entre autres». Ainsi, elle va, à son avis, doter les banques et les structures financières de professionnels de haut niveau pour faire face aux enjeux de la globalisation des marchés financiers. Pour s’en convaincre, le directeur a soutenu que cette formation est unique en son genre en Afrique par la qualité et la diversité de la provenance des intervenants, par l’approche pédagogique. «C’est à juste titre que l’Hebdomadaire international indépendant « Jeune Afrique dans sa parution hors série n° 19 finance de l’année 2008 classe le MBF en tête des formations en Afrique dans le métier de la Banque et de la Finance», s’est-il enorgueilli.
Il faut noter que ce programme MBF a été crée en 2001. Une occasion pour le représentant du directeur de la BCEAO Jean-Baptiste Compaoré, vice-gouverneur de la BCEAO d’expliquer que «ce programme va (leur) permettre de réduire la dépendance du secteur bancaire et financier régional vis-à-vis de l’expertise internationale en matière de formation de haut niveau». Très satisfait de la réussite de cette formation, Jean-Baptiste Compaoré a souligné : «la BCEAO demeure persuadée que l’on ne peut faire l’impasse sur la formation des cadres de nos administrateurs publics et privés et espérer gagner le combat du développement économique et social dans nos pays».
Selon lui, cette initiative va contribuer à une meilleure compréhension des sujets d’actualité tels que «la crise financière, la finance islamique, le développement du marché financier régional entre autres». Ainsi, elle va, à son avis, doter les banques et les structures financières de professionnels de haut niveau pour faire face aux enjeux de la globalisation des marchés financiers. Pour s’en convaincre, le directeur a soutenu que cette formation est unique en son genre en Afrique par la qualité et la diversité de la provenance des intervenants, par l’approche pédagogique. «C’est à juste titre que l’Hebdomadaire international indépendant « Jeune Afrique dans sa parution hors série n° 19 finance de l’année 2008 classe le MBF en tête des formations en Afrique dans le métier de la Banque et de la Finance», s’est-il enorgueilli.
Il faut noter que ce programme MBF a été crée en 2001. Une occasion pour le représentant du directeur de la BCEAO Jean-Baptiste Compaoré, vice-gouverneur de la BCEAO d’expliquer que «ce programme va (leur) permettre de réduire la dépendance du secteur bancaire et financier régional vis-à-vis de l’expertise internationale en matière de formation de haut niveau». Très satisfait de la réussite de cette formation, Jean-Baptiste Compaoré a souligné : «la BCEAO demeure persuadée que l’on ne peut faire l’impasse sur la formation des cadres de nos administrateurs publics et privés et espérer gagner le combat du développement économique et social dans nos pays».
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