Les travailleurs de l’hôpital El Hadji Ibrahima Niasse de Kaolack, en sit-in, dénoncent une gestion nébuleuse et abusive de leur Dg. Les blouses blanches exigent l’arbitrage de leur ministre de tutelle. «Le motif de ce sit-in est le manque de transparence dans la gestion financière des transferts des ressources humaines de l’hôpital, El Hadji Ibrahima Niasse de Kaolack. Lors de notre rencontre avec la direction, le 5 Août 2015, occasionnée par une discussion autour des points de notre plate forme revendicative, cette question de transparence a été évoquée. Et par la suite, une commission dite paritaire est instituée. Et devant se réunir avant le début de chaque mois, pour le partage de toutes les recettes au contrant, la commission tirait des prestations provenant des recouvrements des créances issues des réputations budgétaires, des lettres de garantie, des IPM, des césariennes, des mutuels... Malheureusement depuis sa constitution, cette commission ne fonctionne pas normalement. Là, c’était en complicité avec le directeur qui sabote et foule au pied son fonctionnement », assène le secrétaire dudit hôpital.
Selon Dr Moustapha Diakhaté, «des documents justificatifs des recettes ne sont jamais au rendez-vous. Ce qui pose véritablement un problème de transparence. Les conséquences de cette gestion nébuleuse, se traduisent pas des dépenses hors norme. Ne répondant pas du tout au processus de passation de marché public». Il ajoute que «la subvention de l’Etat en 2013, pour la somme de 27 millions de F CFA destiné à l’hémodialyse ne figure pas dans le budget, il n’a aucune trace. La même subvention accordée en 2014, n’était pas aussi connue du personnel pendant un an. Malgré l’acquisition d'une centrale d’oxygène en 2012, l’hôpital continue de dépenser cher pour l’oxygène médical".
Les blouses blanches demandent que "la lumière soit faite pour justifier des sommes dépensées". Selon eux, "pour la gestion du personnel, c’est encore la catastrophe" car "le directeur recrute comme bon lui semble, il emmène ses proches en faisant abstraction aux règles de transparences ». Le directeur de l’hôpital, Saliou Tall parle de cabale contre sa personne rapporte Walf fm.
Selon Dr Moustapha Diakhaté, «des documents justificatifs des recettes ne sont jamais au rendez-vous. Ce qui pose véritablement un problème de transparence. Les conséquences de cette gestion nébuleuse, se traduisent pas des dépenses hors norme. Ne répondant pas du tout au processus de passation de marché public». Il ajoute que «la subvention de l’Etat en 2013, pour la somme de 27 millions de F CFA destiné à l’hémodialyse ne figure pas dans le budget, il n’a aucune trace. La même subvention accordée en 2014, n’était pas aussi connue du personnel pendant un an. Malgré l’acquisition d'une centrale d’oxygène en 2012, l’hôpital continue de dépenser cher pour l’oxygène médical".
Les blouses blanches demandent que "la lumière soit faite pour justifier des sommes dépensées". Selon eux, "pour la gestion du personnel, c’est encore la catastrophe" car "le directeur recrute comme bon lui semble, il emmène ses proches en faisant abstraction aux règles de transparences ». Le directeur de l’hôpital, Saliou Tall parle de cabale contre sa personne rapporte Walf fm.
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