Les jeunes de Mbar, dans le département de Gossas, réclament le départ du sous-préfet de leur localité. Ils lui reprochent une gestion opaque du comité AD HOC qu’il a mis sur pied pour régler le problème de l’eau à Mbar. «Le sous préfet est à l’origine de tous les problèmes auxquels nous sommes confrontés autour de la gestion de l’eau. Il avait installé depuis 2014, ce comité AD HOC pour apporter une solution à la question du liquide précieux qui sévissait dans la localité», a déclaré Bada Diakhaté.
Il précise que, «ledit comité devait seulement durer trois mois avant qu’une Assemblée générale de renouvellement ne soit organisée pour continuer le travail. Nous sommes en 2018 et la question demeure toujours entière. Le forage ne cesse de tomber en panne, le comité est incapable de faire face au paiement de factures qui s’élèvent à des millions de F CFA».
Les jeunes de Mbar ont aussi pointé du doigt l’édile de leur commune. Selon Ibrahima Gueye, ce dernier tarde toujours à allouer la subvention à l’Association des étudiants de Mbar mais également celle due aux Associations sportives et culturelles (ASC) de façon régulière. Ils ont déploré dans le domaine de la santé, l’insuffisance de la couverture des malades.
Toutefois, ils comptent passer à la vitesse supérieure si le problème n’est pas réglé dans 15 jours, livre « Libération ».
Il précise que, «ledit comité devait seulement durer trois mois avant qu’une Assemblée générale de renouvellement ne soit organisée pour continuer le travail. Nous sommes en 2018 et la question demeure toujours entière. Le forage ne cesse de tomber en panne, le comité est incapable de faire face au paiement de factures qui s’élèvent à des millions de F CFA».
Les jeunes de Mbar ont aussi pointé du doigt l’édile de leur commune. Selon Ibrahima Gueye, ce dernier tarde toujours à allouer la subvention à l’Association des étudiants de Mbar mais également celle due aux Associations sportives et culturelles (ASC) de façon régulière. Ils ont déploré dans le domaine de la santé, l’insuffisance de la couverture des malades.
Toutefois, ils comptent passer à la vitesse supérieure si le problème n’est pas réglé dans 15 jours, livre « Libération ».
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