Après la flèche d’Amath Dansokho, Me Mbaye Jacques Diop a convoqué hier une conférence de presse, en compagnie de plusieurs camarades de fortune, pour « rétablir » la vérité. Ainsi, après avoir parcouru tout son passé militant, l’ancien Président du Conseil économique et social a renvoyé Amath Dansokho à ses anciens quartiers : les pays de l’est où il était au moment où les opérations de port de pancartes se déroulaient en juillet 58.
Me Mbaye Jacques Diop qui estime que le Parti de l’indépendance et du travail est jaloux de sa réussite a conclu que ces attaques de Amath Dansokh (on m’a racontait que le 28 juillet 1958, il ne faisait pas partie des porteurs de pancartes parce qu’il était ivre-mort) sont malsaines. «Rien ne justifie cet acharnement, sinon que c’est une jalousie et de la politique politicienne», a lâché le président honoraire du conseil économique et social. Mais, conseille-t-il, «aimer le Sénégal vaut mieux que d’être attaqué et vilipendé ». Des attitudes qui ne le feront certainement pas changer. « De toute façon, cela ne nous amènera pas à nous détourner de notre objectif, celui de protéger une des plus belles pages de notre histoire » a soutenu Me Diop.
Pour lui, le sujet de l’organisation de l’anniversaire de l’alternance a exacerbé la situation du coté du parti de l’Indépendance et du travail. « Il y a quelques jours, nous avons tenu un grand rassemblement qui a réuni plusieurs milliers de personnes : un million, voire plus. Et cela a créé des tensions et de la jalousie», a-t-il rappelé avant de défier ses adversaires du jour : «Encore une fois, qui s’y frotte, s’y pique», a lancé l'ancien maire de Rufisque avant de noter à l'endroit du public venu le soutenir «ne parle pas bien français et ouolof».
Car «nous sommes des responsables, des patriotes. Nous avons créé cette association pour continuer de montrer une des plus belles pages de l’histoire de notre pays, le Sénégal, sans aucune forme de revendication», a clarifié le maitre des céans.
Selon lui, depuis plus de 16 ans, des hommes les plus valeureux du Sénégal, comme feu Majmout Diop, Amadou Ly «nous ont soutenu et continuent de nous soutenir».
Me Mbaye Jacques Diop qui estime que le Parti de l’indépendance et du travail est jaloux de sa réussite a conclu que ces attaques de Amath Dansokh (on m’a racontait que le 28 juillet 1958, il ne faisait pas partie des porteurs de pancartes parce qu’il était ivre-mort) sont malsaines. «Rien ne justifie cet acharnement, sinon que c’est une jalousie et de la politique politicienne», a lâché le président honoraire du conseil économique et social. Mais, conseille-t-il, «aimer le Sénégal vaut mieux que d’être attaqué et vilipendé ». Des attitudes qui ne le feront certainement pas changer. « De toute façon, cela ne nous amènera pas à nous détourner de notre objectif, celui de protéger une des plus belles pages de notre histoire » a soutenu Me Diop.
Pour lui, le sujet de l’organisation de l’anniversaire de l’alternance a exacerbé la situation du coté du parti de l’Indépendance et du travail. « Il y a quelques jours, nous avons tenu un grand rassemblement qui a réuni plusieurs milliers de personnes : un million, voire plus. Et cela a créé des tensions et de la jalousie», a-t-il rappelé avant de défier ses adversaires du jour : «Encore une fois, qui s’y frotte, s’y pique», a lancé l'ancien maire de Rufisque avant de noter à l'endroit du public venu le soutenir «ne parle pas bien français et ouolof».
Car «nous sommes des responsables, des patriotes. Nous avons créé cette association pour continuer de montrer une des plus belles pages de l’histoire de notre pays, le Sénégal, sans aucune forme de revendication», a clarifié le maitre des céans.
Selon lui, depuis plus de 16 ans, des hommes les plus valeureux du Sénégal, comme feu Majmout Diop, Amadou Ly «nous ont soutenu et continuent de nous soutenir».
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24