On en sait un peu plus sur l’accident survenu ce matin non loin de la gare routière de Mbour. Un bus en provenance de Vélingara qui évitait une autre voiture un clando pour être plus précis qui roulait en sens interdit a percuté de plein fouet un camion. Le drame s’est produit vers les coups de 07 heures du matin. Bilan quatre (4) morts et un blessé grave dont une femme et son enfant. Les victimes étaient toutes sur la route à la recherche de voiture en partance pour Dakar.
Un bilan meurtrier qui porte à treize (13) décès à Mbour entre juillet et octobre.
Le premier accident s'était produit le 21 juillet dernier très tôt à 05h10 du matin, il s’agissait d’un bus Al Hazar communément appelé «carou keur serigne bi» en provenance de Tambacounda (470 Km Sud ouest) qui s’est renversé à cause des fortes pluies qui se sont abattues sur une bonne partie du pays occasionnant pas moins un lourd bilan de cinq morts dont deux femmes et trois hommes avant que le bilan ne s'alourdisse avec le décès d'un étudiant survenu le 7 août dernier sur la quarantaine de blessés.
A peine un mois plus tard, une collision entre encore un bus immatriculé DK 5682 A rempli de passagers en partance pour Kaolack et un véhicule Citroën DK 7067 U à son bord cinq personnes et des paniers remplis de poissons, a fait trois morts tous des hommes et deux blessés graves.
L’accident s’est aussi produit tôt le matin vers les coups de 06 heures à hauteur de la brigade douanière. Tout comme le premier choc, le chauffeur incriminé pour excès de vitesse avait été mis aux arrêts.
Sur ce cas précis, le chauffeur du bus innoncenté par les témoins, celui du camion a pris la fuite.
Autres articles
-
Distribution d'eau à Dakar, Thiès, Tivaouane : la SEN'EAU annonce des perturbations sur le réseau
-
Autopont Front de Terre : le préfet de Dakar annonce son ouverture mardi prochain
-
Justice : le journaliste Adama Gaye en garde à vue pour "diffusion de fausses nouvelles"
-
Sokone : un dealer interpellé avec 3,2 kg de chanvre indien stockés dans sa chambre
-
L’Afrique subsaharienne représente 50% des besoins de financement (PAM)