Dans son discours, le garde des Sceaux a expliqué l’importance de cette session. Il a exprimé sa gratitude à sa famille naturelle. «J’éprouve une joie particulière à ce que l’une de mes toutes premières sorties en tant que ministre de la Justice ait pour cadre cette cérémonie d’ouverture d’une session de formation en droit international des droits de l’Homme», a-t-il confié. Par ailleurs, poursuit le successeur d’Aminata Touré, «si je sers la République au niveau où je le fais aujourd’hui, c’est parce que la famille des droits de l’Homme m’a laissé pendant une trentaine d’années être de ses membres, œuvrer pour elle et me battre pour elle jusqu’à ce le président de la République du Sénégal, Me Macky Sall pense me confier ce département qui est la clé de voute institutionnelle».
L’objectif de cette session qui prend fin le 20 septembre est selon Me Kaba, « de promouvoir la liberté, la dignité de l’homme, parfaire la protection constitutionnelle des droits de l’homme au Sénégal. Elle veillera à faire respecter les droits de l’Homme aussi, à faire accéder à la justice même aux plus démunis, mais aussi au respect des droits de l’enfant et de la femme ». Pour conclure, le nouveau homme fort de la justice sénégalaise a invité les acteurs, qu’ils soient institutionnels ou de la société civile, à accompagner le ministère de la Justice dans son œuvre de protection des droits fondamentaux. La session sera suivie d’une leçon inaugurale d’Emmanuel Decaux, professeur à l’Université Panthéon-Assas (Paris2), Directeur de l’Ecole doctorale de droit internationale, droit européen, relations internationales en Droit comparé de l’Université Paris 2 Panthéon –Assas.
Werner Nowak, directeur régional Afrique de l’Ouest de la fondation Friedrich Naumann pour la liberté et Mehdi Belkahla, assistant de recherche a l’Institut International des droits de l’homme ont également pris part à cette session.
L’objectif de cette session qui prend fin le 20 septembre est selon Me Kaba, « de promouvoir la liberté, la dignité de l’homme, parfaire la protection constitutionnelle des droits de l’homme au Sénégal. Elle veillera à faire respecter les droits de l’Homme aussi, à faire accéder à la justice même aux plus démunis, mais aussi au respect des droits de l’enfant et de la femme ». Pour conclure, le nouveau homme fort de la justice sénégalaise a invité les acteurs, qu’ils soient institutionnels ou de la société civile, à accompagner le ministère de la Justice dans son œuvre de protection des droits fondamentaux. La session sera suivie d’une leçon inaugurale d’Emmanuel Decaux, professeur à l’Université Panthéon-Assas (Paris2), Directeur de l’Ecole doctorale de droit internationale, droit européen, relations internationales en Droit comparé de l’Université Paris 2 Panthéon –Assas.
Werner Nowak, directeur régional Afrique de l’Ouest de la fondation Friedrich Naumann pour la liberté et Mehdi Belkahla, assistant de recherche a l’Institut International des droits de l’homme ont également pris part à cette session.
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