Le dialogue politique pourrait renaître de ses cendres. Longtemps stoppé par un manque de confiance entre acteurs politiques, le Président de la République a profité de son passage à Tivaouane pour appeler l’opposition au dialogue sur l’initiative du Khalife général des Tidianes. « Je leur demande de venir s’asseoir autour de la table pour discuter. Mon Directeur de Cabinet est à leur disposition » a lancé Me Abdoulaye à l’endroit de ses adversaires politiques.
Mieux, le Chef de l’Etat leur indique la voix à suivre et même la forme qui pourrait être bénéfique à toutes les populations. « Ils peuvent prendre contact avec lui (Directeur de Cabinet) quand ils voudront. Je vais les recevoir pour discuter. S’ils préfèrent, même, on pourra le faire sous forme de débat télévisé pour que tout le monde sache ce dont on discute » a proposé Me Wade.
Le Chef de l’Etat a même accepté que Serigne Mansour Sy Junior soit le médiateur de cette reprise de ce dialogue politique.
Un dialogue que devrait accepter l’opposition. En tout cas, si on se fie à la réaction du leader de l’Alliance des forces de progrès.
« … Il faut féliciter le Chef de l’Etat d’avoir accepté l’appel du Khalife général des Tidianes. L’essentiel est que l’acceptation de cet appel soit accompagnée d’actes concrets allant vers le dialogue avec l’opposition. Je peux dire en tant que leader politique que nous devons aussi dire oui à cet appel du Khalife général des Tidianes. J’aurais eu la même réaction si cet appel venait d’autres familles religieuses. Parce qu’il est temps qu’on s’essaye pour parler de la situation de ce pays… » a répondu Moustapha Niass.
La Société civile n’est pas restée insensible à cet appel de dialogue. Toutefois, le Coordonnateur du Forum civile, Mouhamadou Mbodj estime que les questions sociales doivent être prioritaires car tout le monde est fatigué.
« Cette question du dialogue politique est arrivée à maturité. Il faudrait sortir des risées de petits calculs pour qu’un mécanisme soit mis sur place afin que les propositions des différents chefs religieux et des personnalités de l’espace public soient répercutés sur une fiche. Pourqu’on puisse traiter ces questions au seul profit du Sénégal qui nous mobilise et qui nous préoccupe… en commençant par les questions sociales et dont celle de la Casamance » a suggéré M. Mbodj.
Mieux, le Chef de l’Etat leur indique la voix à suivre et même la forme qui pourrait être bénéfique à toutes les populations. « Ils peuvent prendre contact avec lui (Directeur de Cabinet) quand ils voudront. Je vais les recevoir pour discuter. S’ils préfèrent, même, on pourra le faire sous forme de débat télévisé pour que tout le monde sache ce dont on discute » a proposé Me Wade.
Le Chef de l’Etat a même accepté que Serigne Mansour Sy Junior soit le médiateur de cette reprise de ce dialogue politique.
Un dialogue que devrait accepter l’opposition. En tout cas, si on se fie à la réaction du leader de l’Alliance des forces de progrès.
« … Il faut féliciter le Chef de l’Etat d’avoir accepté l’appel du Khalife général des Tidianes. L’essentiel est que l’acceptation de cet appel soit accompagnée d’actes concrets allant vers le dialogue avec l’opposition. Je peux dire en tant que leader politique que nous devons aussi dire oui à cet appel du Khalife général des Tidianes. J’aurais eu la même réaction si cet appel venait d’autres familles religieuses. Parce qu’il est temps qu’on s’essaye pour parler de la situation de ce pays… » a répondu Moustapha Niass.
La Société civile n’est pas restée insensible à cet appel de dialogue. Toutefois, le Coordonnateur du Forum civile, Mouhamadou Mbodj estime que les questions sociales doivent être prioritaires car tout le monde est fatigué.
« Cette question du dialogue politique est arrivée à maturité. Il faudrait sortir des risées de petits calculs pour qu’un mécanisme soit mis sur place afin que les propositions des différents chefs religieux et des personnalités de l’espace public soient répercutés sur une fiche. Pourqu’on puisse traiter ces questions au seul profit du Sénégal qui nous mobilise et qui nous préoccupe… en commençant par les questions sociales et dont celle de la Casamance » a suggéré M. Mbodj.
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