Ce mardi, un appel désespéré à l'État a retenti à Horizon sans frontières. Le président de l'organisation, Boubacar Seye, a révélé une situation alarmante : "Plus de 150 candidats à l'émigration clandestine se trouvent dans une situation d'extrême urgence à Assamaka Arlide, Agadez et Niamey depuis presque trois mois".
Les témoignages des migrants sont accablants. "Nous avons été torturés, malmenés avant d’être expulsés vers le désert", déclare leur porte-parole, M. M. Thiam, étudiant en licence 3 au département de lettres, sciences humaines et de l’éducation à l’université numérique Cheikh Hamidou Kane du Sénégal.
Les conditions sur place sont critiques. "Il y aurait même eu des morts dans le désert entre la frontière algérienne et nigérienne", informe M. Thiam. Il ajoute que les migrants survivent dans des conditions très précaires, sans eau ni nourriture, exposés à une chaleur écrasante.
Cette situation appelle une intervention urgente des autorités pour éviter une catastrophe humanitaire imminente.
Horizon sans Frontières fait appel aux nouvelles autorités pour leur rapatriement.
Les témoignages des migrants sont accablants. "Nous avons été torturés, malmenés avant d’être expulsés vers le désert", déclare leur porte-parole, M. M. Thiam, étudiant en licence 3 au département de lettres, sciences humaines et de l’éducation à l’université numérique Cheikh Hamidou Kane du Sénégal.
Les conditions sur place sont critiques. "Il y aurait même eu des morts dans le désert entre la frontière algérienne et nigérienne", informe M. Thiam. Il ajoute que les migrants survivent dans des conditions très précaires, sans eau ni nourriture, exposés à une chaleur écrasante.
Cette situation appelle une intervention urgente des autorités pour éviter une catastrophe humanitaire imminente.
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