L’ancien directeur de cabinet de Macky Sall, Moustapha Diakhaté est formel. Il a soutenu que « aucun membre de l’ex-Pastef ne devrait être candidat à l’élection présidentielle de février 2024 ». Ce, à cause des dégâts humains et matériels qu’ils ont causés.
« La candidature de Bassirou Diomaye Faye ou d’un autre terroriste n’est que de l’agitation puérile, une diversion. Contrairement à ce que prétendent certains thuriféraires de l’ex parti terroriste, M. Faye ou un autre ne sera ni botte secrète encore moins un plan B ou C de Sonko pour la présidentielle 2024 », a dit M. Diakhaté dans le journal Vox Populi.
Selon lui, la désignation du numéro 2 de l’ex Pastef « renoue avec la remobilisation des pseudo-patriotes complètement abasourdis par les revers de 115 jours d’emprisonnements, de la dissolution et du fiasco des multiples tentatives de mobilisation et empêche aux autres candidats, y compris ceux issus de la coalition Yewwi Askan Wi d’être parrainés par les partisans de Sonko ».
« Le recours incessant de la violation de Sonko a entrainé des dizaines de morts, des dizaines de milliards FCFA de destruction de biens publics, privés, nationaux et étrangers. Face à ces tragédies, la République n’a qu’aucun choix : celui d’en finir avec les membres de l’ex Pastef et d’extirper du discours de praxis politiques des appels à l’insurrection, des atteintes à la sureté de l’Etat, du terrorisme, du complot contre l’autorité de l’Etat, d’actes et de manœuvres de nature à compromettre la sureté publique », a-t-il fulminé.
« La candidature de Bassirou Diomaye Faye ou d’un autre terroriste n’est que de l’agitation puérile, une diversion. Contrairement à ce que prétendent certains thuriféraires de l’ex parti terroriste, M. Faye ou un autre ne sera ni botte secrète encore moins un plan B ou C de Sonko pour la présidentielle 2024 », a dit M. Diakhaté dans le journal Vox Populi.
Selon lui, la désignation du numéro 2 de l’ex Pastef « renoue avec la remobilisation des pseudo-patriotes complètement abasourdis par les revers de 115 jours d’emprisonnements, de la dissolution et du fiasco des multiples tentatives de mobilisation et empêche aux autres candidats, y compris ceux issus de la coalition Yewwi Askan Wi d’être parrainés par les partisans de Sonko ».
« Le recours incessant de la violation de Sonko a entrainé des dizaines de morts, des dizaines de milliards FCFA de destruction de biens publics, privés, nationaux et étrangers. Face à ces tragédies, la République n’a qu’aucun choix : celui d’en finir avec les membres de l’ex Pastef et d’extirper du discours de praxis politiques des appels à l’insurrection, des atteintes à la sureté de l’Etat, du terrorisme, du complot contre l’autorité de l’Etat, d’actes et de manœuvres de nature à compromettre la sureté publique », a-t-il fulminé.
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