« Nous avons beaucoup discuté avec les syndicats. Nous avons noté beaucoup de points où nous n’avons pas eu de désaccords. Nous pensons que ces points où nous n’avons pas eu de désaccords peuvent constituer une base d’accords. Mais, les syndicats ont pensé qu’il faut poursuivre le travail de réflexion », a déclaré le ministre de la Fonction publique, du Travail et des Relations avec les institutions, Mansour Sy.
Il a annoncé la mise en place d’un comité de suivi des négociations, au sein duquel seront représentés les ministères concernés (Fonction publique, Education nationale, etc.) par ce dossier et les syndicats.
« Le comité de suivi va travailler pour essayer de voir les questions sur lesquelles il est interpellé, à savoir les modalités de mise en œuvre de l’accord sur la validation des années de contractualisation », a souligné M. Sy.
Il a salué l’accord sur la validation des années de contractualisation.
« L’indice va changer, l’indemnité de résidence et l’indemnité d’enseignement vont changer aussi. Toutes les indemnités, qui sont liées à l’indemnité initiale de base, vont changer, ce qui va améliorer la situation des enseignants », a-t-il annoncé.
Les représentants du Cadre unitaire des syndicats d’enseignants du Sénégal (CUSE) et du Cadre unitaire des syndicats d’enseignants du moyen-secondaire (CUSEMS) ont estimé que les négociations ont abouti à un « échec ».
« Nous étions venus avec une plateforme de six points. Le gouvernement a consenti à faire des efforts sur un seul, qui concerne la validation des années de contractualisation », a dit Ndongo Sarr, secrétaire général du CUSEMS.
Il a dénoncé le « refus » du gouvernement de négocier certains points. « Il faut que le gouvernement évolue sur les questions essentielles, sinon on risque d’aller vers des crispations », a-t-il averti.
Au terme de la réunion, Oumar Waly Zoumaro du CUSE a affirmé qu’il y a « des risques de confrontation » entre le gouvernement et les syndicats, qui ont entamé depuis juillet des négociations avec les syndicats d'enseignants.
En 2011-2012, le système éducatif a été paralysé pendant quatre mois par une grève de certains syndicats. L’année scolaire a été sauvée de justesse après l’élection du président Macky Sall.
Les syndicats avaient accepté d’observer une trêve, en attendant l’ouverture des négociations. Ils menacent de perturber le déroulement de la nouvelle année scolaire, pour dénoncer le non-respect de certains engagements du gouvernement.
Source APS
Il a annoncé la mise en place d’un comité de suivi des négociations, au sein duquel seront représentés les ministères concernés (Fonction publique, Education nationale, etc.) par ce dossier et les syndicats.
« Le comité de suivi va travailler pour essayer de voir les questions sur lesquelles il est interpellé, à savoir les modalités de mise en œuvre de l’accord sur la validation des années de contractualisation », a souligné M. Sy.
Il a salué l’accord sur la validation des années de contractualisation.
« L’indice va changer, l’indemnité de résidence et l’indemnité d’enseignement vont changer aussi. Toutes les indemnités, qui sont liées à l’indemnité initiale de base, vont changer, ce qui va améliorer la situation des enseignants », a-t-il annoncé.
Les représentants du Cadre unitaire des syndicats d’enseignants du Sénégal (CUSE) et du Cadre unitaire des syndicats d’enseignants du moyen-secondaire (CUSEMS) ont estimé que les négociations ont abouti à un « échec ».
« Nous étions venus avec une plateforme de six points. Le gouvernement a consenti à faire des efforts sur un seul, qui concerne la validation des années de contractualisation », a dit Ndongo Sarr, secrétaire général du CUSEMS.
Il a dénoncé le « refus » du gouvernement de négocier certains points. « Il faut que le gouvernement évolue sur les questions essentielles, sinon on risque d’aller vers des crispations », a-t-il averti.
Au terme de la réunion, Oumar Waly Zoumaro du CUSE a affirmé qu’il y a « des risques de confrontation » entre le gouvernement et les syndicats, qui ont entamé depuis juillet des négociations avec les syndicats d'enseignants.
En 2011-2012, le système éducatif a été paralysé pendant quatre mois par une grève de certains syndicats. L’année scolaire a été sauvée de justesse après l’élection du président Macky Sall.
Les syndicats avaient accepté d’observer une trêve, en attendant l’ouverture des négociations. Ils menacent de perturber le déroulement de la nouvelle année scolaire, pour dénoncer le non-respect de certains engagements du gouvernement.
Source APS
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