Une dame du nom de Marie Gueye a tragiquement perdu la vie hier mardi à Ngor. Selon les déclarations de sa famille, qui envisage de porter plainte et de manifester, elle a succombé suite à un échange houleux avec des gendarmes en patrouille à la plage de Ngor, qui l’ont traitée de «femme de mœurs légères».
Sa famille raconte que les faits se sont déroulés aux environs de 22 heures, lorsqu’un gendarme lui a demandé sa carte nationale d'identité. Après cela, la situation aurait dégénérée. Le frère de la victime, Pape Alioune Gueye, affirme que les gendarmes ont violemment frappé sa soeur, après l’avoir forcée à monter dans leur véhicule. "Ils se sont ensuite enfuis lorsque Marie a cessé de réagir", ajoute-t-il.
Malgré les efforts de la famille pour l’emmener à l’hôpital, il était déjà trop tard. Marie est décédée avant même d’arriver aux soins médicaux. En plus de la plainte annoncé, la population de Ngor et famille de la défunte projettent de sortir dans la rue pour dénoncer ce drame.
Sa famille raconte que les faits se sont déroulés aux environs de 22 heures, lorsqu’un gendarme lui a demandé sa carte nationale d'identité. Après cela, la situation aurait dégénérée. Le frère de la victime, Pape Alioune Gueye, affirme que les gendarmes ont violemment frappé sa soeur, après l’avoir forcée à monter dans leur véhicule. "Ils se sont ensuite enfuis lorsque Marie a cessé de réagir", ajoute-t-il.
Malgré les efforts de la famille pour l’emmener à l’hôpital, il était déjà trop tard. Marie est décédée avant même d’arriver aux soins médicaux. En plus de la plainte annoncé, la population de Ngor et famille de la défunte projettent de sortir dans la rue pour dénoncer ce drame.
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"