Les émeutes de l’électricité et les inondations ont mis le Sénégal dans une situation explosive qui peut dégénérer à tout moment. Les responsables du parti Yoonu Askan Wi se sont insurgés contre les pratiques de «pourrissement ou de mépris» des autorités. Ils ont indiqué que pour «le salut de nos concitoyens et concitoyennes, ils doivent être démis de leurs fonctions, jugés et punis pour incompétence et incurie, non assistance à un peuple en danger et pillage des ressources nationales».
A ce propos, ils ont souligné : «pas de vacances gouvernementales pendant l’hivernage». Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com, le secrétaire général du parti a estimé que «toutes les énergies doivent être tendues vers la réalisation de cet objectif : il y va, ici et maintenant, du sort des générations présentes et à venir».
Le secrétariat permanent a dans son communiqué dénoncé, les délestages intempestifs devenus des privations endémiques d’électricité, au grand désarroi des ménages et des entreprises, mais aussi, les inondations récurrentes dans la banlieue de Dakar et dans diverses autres localités du pays, qui selon eux, ne font que traduire l’échec d’un pouvoir qui n’a réussi qu’à aggraver les tares héritées de l’ancien régime, privilégiant ses lubies propres, ses complexes de grandeur, son enrichissement personnel et rapide au détriment des vraies priorités des populations. Les militants de Yoonu Askan Wi de couper court aux accusations faites par le pouvoir sur les populations. «De grâce qu’on cesse d’accuser ces braves populations d’être elles mêmes la cause de leurs malheurs du fait d’occupations et de constructions irrégulières !» ont-t-ils martelé.
Ceux-ci de donner un exemple qui illustre l’incompétence de l’Etat : «sur les 15 Unités des Parcelles Assainies de Keur Massar, 12 pataugent dans les eaux, et pourtant il s’agit là de terrains lotis et viabilisés, de cités construites et mises en vente, par l’Etat, par le biais de la SNHLM, sans plan d’assainissement véritable, sans système d’égouts ni réseaux d’évacuation des eaux pluviales.
Peut on espérer régler durablement le problème des inondations ou des privations d’électricité dans l’improvisation ou le par à coups à la ‘’bëcëg juroom’’ C’est-à-dire sans une stratégie globale d’assainissement, sans un programme d’approvisionnement maîtrisé en combustibles, à moyen et long terme ? s’est interrogé Yoonu Askan Wi.
Toutefois, Madieye Mbodj a pensé que «c’est à la fois une faute économique lourde, une insouciance politique grave et un mépris social révélateur, nourris par un mimétisme culturel tenace, que de voir nos dirigeants, ceux d’un pays sahélien à prédominance agricole, fortement tributaire des aléas climatiques liés en particulier à l’hivernage, calquer leurs vacances sur celles de leurs ‘‘amis’’ des pays européens, la France notamment».
A ce propos, ils ont souligné : «pas de vacances gouvernementales pendant l’hivernage». Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com, le secrétaire général du parti a estimé que «toutes les énergies doivent être tendues vers la réalisation de cet objectif : il y va, ici et maintenant, du sort des générations présentes et à venir».
Le secrétariat permanent a dans son communiqué dénoncé, les délestages intempestifs devenus des privations endémiques d’électricité, au grand désarroi des ménages et des entreprises, mais aussi, les inondations récurrentes dans la banlieue de Dakar et dans diverses autres localités du pays, qui selon eux, ne font que traduire l’échec d’un pouvoir qui n’a réussi qu’à aggraver les tares héritées de l’ancien régime, privilégiant ses lubies propres, ses complexes de grandeur, son enrichissement personnel et rapide au détriment des vraies priorités des populations. Les militants de Yoonu Askan Wi de couper court aux accusations faites par le pouvoir sur les populations. «De grâce qu’on cesse d’accuser ces braves populations d’être elles mêmes la cause de leurs malheurs du fait d’occupations et de constructions irrégulières !» ont-t-ils martelé.
Ceux-ci de donner un exemple qui illustre l’incompétence de l’Etat : «sur les 15 Unités des Parcelles Assainies de Keur Massar, 12 pataugent dans les eaux, et pourtant il s’agit là de terrains lotis et viabilisés, de cités construites et mises en vente, par l’Etat, par le biais de la SNHLM, sans plan d’assainissement véritable, sans système d’égouts ni réseaux d’évacuation des eaux pluviales.
Peut on espérer régler durablement le problème des inondations ou des privations d’électricité dans l’improvisation ou le par à coups à la ‘’bëcëg juroom’’ C’est-à-dire sans une stratégie globale d’assainissement, sans un programme d’approvisionnement maîtrisé en combustibles, à moyen et long terme ? s’est interrogé Yoonu Askan Wi.
Toutefois, Madieye Mbodj a pensé que «c’est à la fois une faute économique lourde, une insouciance politique grave et un mépris social révélateur, nourris par un mimétisme culturel tenace, que de voir nos dirigeants, ceux d’un pays sahélien à prédominance agricole, fortement tributaire des aléas climatiques liés en particulier à l’hivernage, calquer leurs vacances sur celles de leurs ‘‘amis’’ des pays européens, la France notamment».
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