Au cours de cette conférence de presse, les travailleurs de la SDE se sont voulus catégoriques : «Si nos doléances ne sont pas prises en compte nous n’hésiterons pas de descendre dans les rues pour nous faire entendre» a souligné d’emblée, le Secrétaire General de la Confédération des Syndicats Autonomes du Sénégal (CSA), M. Elimane Diouf.
Les syndicalistes reprochent aux autorités de les avoir exclus de la réflexion sur les nouvelles reformes pour la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel est en cours ; le contrat qui lie l’Etat du Sénégal à la Société Des Eaux (SDE), sous le contrôle de Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) expire en 2011.
Pour le Secrétaire général de la Confédération Démocratique des Syndicats libres (CDSL), M. Ibrahima Sarr «le combat que mènent ses camarades est légitime. Parce que les travailleurs ne sont pas impliqués dans le processus. A l’en croire, l’Etat ne peut pas décider de façon unilatérale». Il a précisé que l’Etat reste le maître d’œuvre dans cette affaire, mais que ce sont les travailleurs qui se sont sacrifiés durant des années pour assurer la distribution de l’eau à travers le pays.
Plusieurs syndicats se sont mobilisés pour apporter leur aide au cadre unitaire des syndicats de la sénégalaise des eaux (CUS SDE). Un mémorandum est en cours d’étude et sera finalisé le 27 mars prochain. Après leur assemblée générale, un plan d’action complet de leurs activités sera transmis à la presse.
Toutefois, les travailleurs réitèrent leur ouverture au dialogue et espèrent que l’Etat reviendra à de meilleurs sentiments en les impliquant dans ce processus pour l’intérêt de toute la nation.
Les syndicalistes reprochent aux autorités de les avoir exclus de la réflexion sur les nouvelles reformes pour la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel est en cours ; le contrat qui lie l’Etat du Sénégal à la Société Des Eaux (SDE), sous le contrôle de Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) expire en 2011.
Pour le Secrétaire général de la Confédération Démocratique des Syndicats libres (CDSL), M. Ibrahima Sarr «le combat que mènent ses camarades est légitime. Parce que les travailleurs ne sont pas impliqués dans le processus. A l’en croire, l’Etat ne peut pas décider de façon unilatérale». Il a précisé que l’Etat reste le maître d’œuvre dans cette affaire, mais que ce sont les travailleurs qui se sont sacrifiés durant des années pour assurer la distribution de l’eau à travers le pays.
Plusieurs syndicats se sont mobilisés pour apporter leur aide au cadre unitaire des syndicats de la sénégalaise des eaux (CUS SDE). Un mémorandum est en cours d’étude et sera finalisé le 27 mars prochain. Après leur assemblée générale, un plan d’action complet de leurs activités sera transmis à la presse.
Toutefois, les travailleurs réitèrent leur ouverture au dialogue et espèrent que l’Etat reviendra à de meilleurs sentiments en les impliquant dans ce processus pour l’intérêt de toute la nation.
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