Si André-Pierre Gignac est largement en avance sur Mamadou Niang en terme de buts (21 contre 11 désormais), on peut dire que les deux buteurs se sont livrés un beau duel à distance ce samedi au Vélodrome avec en prime une haletante course aux buts. Les meilleurs buteurs de leurs clubs respectifs furent ainsi auteurs des quatre réalisations de la soirée se répondant à chauqe fois l'un à l'autre. Dans leurs styles caractéristiques, les deux attaquants ont en tout cas dépensé beaucoup d’énergie sur la pelouse du Vélodrome et marqué le match de leurs empreintes.
Niang, les efforts justement récompensés
Placé aux côtés de Brandao et soutenu par Valbuena en première période, le Sénégalais était d’abord sur la gauche de l’attaque. Si ses courses restaient comme de coutume incessantes tout au long de la mi-temps, il se signalait vite par une demi-volée qui passait très près du montant gauche de Carrasso (8e).
Le duel avec son ancien coéquipier allait surtout s’avérer passionnant et soutenu après la pause. Notamment quand l’ancien portier olympien s’étendait de tout son long pour sortir la frappe en pivot de Niang (54e). Batailleur et placé dans l’axe par la suite (laissant le flanc gauche à Brandao), il trouvait enfin la faille pour répondre à l’ouverture du score de Gignac. Certes contrée par Congré, sa tête sur l’égalisation (63e, 1-1) montrait une fois de plus la détente parfaite de l’attaquant marseillais. Il devenait même l’un des artisans les plus énergiques de la grosse pression olympienne. Autant d’efforts étaient une nouvelle fois justement récompensés avec un soupçon de réussite quand son centre était dévié par Cetto pour une nouvelle égalisation une minute seulement après le but de Gignac cette fois (2-2, 73e).
S’il fut aidé par les défenseurs toulousains sur ses deux buts, il aura en tout cas livré un sacré duel avec Cédric Carrasso.
Gignac, toujours dans les bons coups
Plus esseulé qu’un Mamadou Niang sur le front de l’attaque du TFC, André-Pierre Gignac fut sous bonne garde durant les 45 premières minutes avec un Hilton omniprésent. Si le Toulousain a su remporter certains duels aériens sur le Brésilien (pour la volée de Didot à la 11e minute notamment), il dépassait parfois la limite dans son face-à-face jusqu’à en recevoir un carton jaune en fin de première période. Mais Gignac n’est pas le meilleur buteur du championnat par hasard. La seule fois où il eut du champ libre fut payée cash. Quand sur un ballon mal dégagé d’Hilton, il recevait un ballon dans la profondeur et battait le Brésilien d’un crochet terrible et Mandanda d’une frappe croisée (49e, 0-1). Heureusement en revanche, il manquait de réussite au moment de reprendre un centre en retrait dans la foulée, sa frappe s’échouant à quelques centimètres du cadre (52e).
Décidemment toujours dans les bons coups, le Martégal était à l’origine et à la conclusion du second but de son équipe après l’égalisation de Niang. Sur un contre ultra rapide, Gignac lançait Braaten qui lui rendait la politesse pour tromper Mandanda de l’intérieur du pied (72e, 1-2). S’il eut le malheur de voir Niang remettre les deux équipes à égalité dans la foulée, il a de nouveau montré à quel point ce joueur peut profiter de la moindre fêlure et son caractère indispensable dans le système offensif toulousain.
Source: OM
Niang, les efforts justement récompensés
Placé aux côtés de Brandao et soutenu par Valbuena en première période, le Sénégalais était d’abord sur la gauche de l’attaque. Si ses courses restaient comme de coutume incessantes tout au long de la mi-temps, il se signalait vite par une demi-volée qui passait très près du montant gauche de Carrasso (8e).
Le duel avec son ancien coéquipier allait surtout s’avérer passionnant et soutenu après la pause. Notamment quand l’ancien portier olympien s’étendait de tout son long pour sortir la frappe en pivot de Niang (54e). Batailleur et placé dans l’axe par la suite (laissant le flanc gauche à Brandao), il trouvait enfin la faille pour répondre à l’ouverture du score de Gignac. Certes contrée par Congré, sa tête sur l’égalisation (63e, 1-1) montrait une fois de plus la détente parfaite de l’attaquant marseillais. Il devenait même l’un des artisans les plus énergiques de la grosse pression olympienne. Autant d’efforts étaient une nouvelle fois justement récompensés avec un soupçon de réussite quand son centre était dévié par Cetto pour une nouvelle égalisation une minute seulement après le but de Gignac cette fois (2-2, 73e).
S’il fut aidé par les défenseurs toulousains sur ses deux buts, il aura en tout cas livré un sacré duel avec Cédric Carrasso.
Gignac, toujours dans les bons coups
Plus esseulé qu’un Mamadou Niang sur le front de l’attaque du TFC, André-Pierre Gignac fut sous bonne garde durant les 45 premières minutes avec un Hilton omniprésent. Si le Toulousain a su remporter certains duels aériens sur le Brésilien (pour la volée de Didot à la 11e minute notamment), il dépassait parfois la limite dans son face-à-face jusqu’à en recevoir un carton jaune en fin de première période. Mais Gignac n’est pas le meilleur buteur du championnat par hasard. La seule fois où il eut du champ libre fut payée cash. Quand sur un ballon mal dégagé d’Hilton, il recevait un ballon dans la profondeur et battait le Brésilien d’un crochet terrible et Mandanda d’une frappe croisée (49e, 0-1). Heureusement en revanche, il manquait de réussite au moment de reprendre un centre en retrait dans la foulée, sa frappe s’échouant à quelques centimètres du cadre (52e).
Décidemment toujours dans les bons coups, le Martégal était à l’origine et à la conclusion du second but de son équipe après l’égalisation de Niang. Sur un contre ultra rapide, Gignac lançait Braaten qui lui rendait la politesse pour tromper Mandanda de l’intérieur du pied (72e, 1-2). S’il eut le malheur de voir Niang remettre les deux équipes à égalité dans la foulée, il a de nouveau montré à quel point ce joueur peut profiter de la moindre fêlure et son caractère indispensable dans le système offensif toulousain.
Source: OM
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