Le militant du Front Al-Nosra (Jabhatal-Nosra, la branche d’Al-Qaïda en Syrie) qui se fait aussi appeler Fateh al-Cham après avoir renoncé à son rattachement à Al-Qaïda fin juillet, et connu également sous le nom d’Omar Omsen a mené un groupe de 50 volontaires français en Syrie pour combattre dans les rangs d’Al-Nosra, si l'on en croit aux renseignements américains
Selon « Libération », non seulement Omar Diaby était en relation permanente avec Moustapha Diop dit Abou Hatem, qui finançait depuis Syrte les réunions des présumés futurs jihadistes. Mais pire, il a eu un contact direct avec Mokhtar Diokhané. Des aveux de ce dernier, il ressort qu’il à rencontré à deux reprise Omar Diaby à Yoff. Tout indique que ces rencontres avaient eu lieu lorsque Omsen avait séjourné au Sénégal en mars 2014 avant de disparaître subitement alors qu’il était dans le collimateur des forces de sécurité sénégalaises.
Les services secrets français ont pu apprendre qu’après le Sénégal, il est passé par la Mauritanie avant d’embarquer à Tunis avec une dizaine de recrues pour rallier la Turquie en bateau puis la Syrie. Depuis, il y dirige une « katiba » et se proclame « émir » des jihadistes français en Syrie.
Saliou Ndiaye alias Salikh dit Baye Zale, a soutenu avoir été démarché par Djibril Thiombane, un membre du groupe Al Nosra par le biais de qui il a fait la connaissance de Omar Diaby pour aller intégrer les rangs des jihadistes syriens et d’ailleurs. N’eut été le refus de visa touriste sollicité comme prétexte à l’ambassade de Turquie, il allait réaliser son intention de rejoindre les groupes terroristes.
Selon « Libération », non seulement Omar Diaby était en relation permanente avec Moustapha Diop dit Abou Hatem, qui finançait depuis Syrte les réunions des présumés futurs jihadistes. Mais pire, il a eu un contact direct avec Mokhtar Diokhané. Des aveux de ce dernier, il ressort qu’il à rencontré à deux reprise Omar Diaby à Yoff. Tout indique que ces rencontres avaient eu lieu lorsque Omsen avait séjourné au Sénégal en mars 2014 avant de disparaître subitement alors qu’il était dans le collimateur des forces de sécurité sénégalaises.
Les services secrets français ont pu apprendre qu’après le Sénégal, il est passé par la Mauritanie avant d’embarquer à Tunis avec une dizaine de recrues pour rallier la Turquie en bateau puis la Syrie. Depuis, il y dirige une « katiba » et se proclame « émir » des jihadistes français en Syrie.
Saliou Ndiaye alias Salikh dit Baye Zale, a soutenu avoir été démarché par Djibril Thiombane, un membre du groupe Al Nosra par le biais de qui il a fait la connaissance de Omar Diaby pour aller intégrer les rangs des jihadistes syriens et d’ailleurs. N’eut été le refus de visa touriste sollicité comme prétexte à l’ambassade de Turquie, il allait réaliser son intention de rejoindre les groupes terroristes.
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