Les conditions de vie des équipes visiteuses en terre guinéenne sont loin d’être les meilleures. En effet, à peine arrivés à Bata, le staff et les lions du Sénégal ne cessent de s’apitoyer sur leur sort. Ces derniers souffrent du manque de bon nombre d’infrastructures primordiales dans l’hôtel où ils devront séjourner tout au long de cette compétition africaine.
Parmi les infrastructures défectueuses, l’absence de chasses d’eau dans les toilettes de la résidence des lions constitue la plus flagrante et semble chambarder la tanière. A côté des contrariétés encourues par les joueurs et leur staff, s’ajoutent les diverses entraves auxquelles sont confrontés les journalistes. A Bata, le problème le plus récurrent qui gangrène le travail de la presse est le manque d’accès à l’internet. Notre confrère Hubert Mbengue du quotidien sportif sénégalais « Stades » qui, ce jeudi à travers les ondes de la RFM, se plaignait au bout du fil, d’être en incapacité d’envoyer son papier illustre les dures conditions de travail des médias.
Gabon, pays co-organisateur de cette CAN avec la guinée Equatoriale connait également des retards par rapport à l’organisation. Le pays d’Ali Bongo a attendu moins de 48 heures du démarrage de la compétition, pour procéder au nettoiement des différents coins de la capitale.
Des dysfonctionnements qui dépriment physiquement et mentalement les équipes visiteuses, et qui ressuscitent le débat sur l’aptitude de certains pays à héberger un évènement aussi important que la CAN.
Parmi les infrastructures défectueuses, l’absence de chasses d’eau dans les toilettes de la résidence des lions constitue la plus flagrante et semble chambarder la tanière. A côté des contrariétés encourues par les joueurs et leur staff, s’ajoutent les diverses entraves auxquelles sont confrontés les journalistes. A Bata, le problème le plus récurrent qui gangrène le travail de la presse est le manque d’accès à l’internet. Notre confrère Hubert Mbengue du quotidien sportif sénégalais « Stades » qui, ce jeudi à travers les ondes de la RFM, se plaignait au bout du fil, d’être en incapacité d’envoyer son papier illustre les dures conditions de travail des médias.
Gabon, pays co-organisateur de cette CAN avec la guinée Equatoriale connait également des retards par rapport à l’organisation. Le pays d’Ali Bongo a attendu moins de 48 heures du démarrage de la compétition, pour procéder au nettoiement des différents coins de la capitale.
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